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blog des textes de poete fada (frederic cotta)

31 déc. 2002

What if ?

What if.
I take you in my arms.
What if.
I turn you all around.
What if.
All the things that I have
I'd give you;
If you give me one more night.
What if.
I surrender to you
What if.
My eyes are blue
What if.
I turn you all around.

I'll make love to you
Ho babe, only say me one more time

What if

We met on the New year night
And I mess the keys of my heart
Near of you 'till the end of time
I swear, I had not intended this
I swear, I'll love you 'till you stop me to do so

What if
I take you in my arms
What if
I turn you all around
What if
I surrender to you
What if
My eyes are blue

What if
What if

The morning after
I called you on the phone.
And I wasn't dreaming ;
You had given me your phone.
How could I imagine all of this was true.
For me it was a christmas dream.
What if we can love at least until the next year

What if
I take you in my arms
What if
I turn you upside down
What if
All the things that I have
If you give me one more night babe
I'll give you
What If
I surrender to you
What if
what if
My eyes are blue

I'll make love to you
Ho babe, only say me one more time
What if, what if

Frédéric COTTA (poete-fada)
31 décembre 2002
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21 déc. 2002

Elle et moi dans la pièce

ELle s'avance dans la pièce
Je sens ma poitrine exploser
Sous l'impulsion d'une pulsion
Je m'approche d'elle
Je sens son parfum
Elle m'attire, cela est une certitude
Je sens son aura autour de moi
Je sens sa présence à mes côtés
Et je n'ose décrocher le mot qui
Fera tout basculer
Elle s'avance dans la pièce
Elle est si jolie dans cette pièce sombre
Sans doute se demande - t- elle
Pourquoi je la regarde avec tant d'insistance
Me léverais-je ou pas
Oserais je braver la foule
courir à sa rencontre
Dire ces choses que je n'ose pas
Elle s'avance dans la pièce et demande un café
"Mademoiselle,"
Tiens, voilà que je me mets à lui parler.
Elle prend son café en me jetant un regard
Dans ses yeux noirs, je sens
stupéfaction et questionnement
Me voilà lancé dans la conversation
J'enchaîne donc par les présentations
Elle me sourit
Elle s'avance vers moi et me dis
''C'est gentil, mais j'attend mon mari''

Frédéric COTTA (poete-fada)
21 dec 2002
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16 déc. 2002

Changer tout

Changer les meubles de place
Ne servira à rien
Tu n'as plus ta place
A côté de mes mains
Et j'ai beau faire
Pour m'incruster
Je ne fais pas l'affaire
Et je dois chercher
A combler ce manque qui m'entoure
A combler ce manque qui m'entoure
Peu à peu je me sens seul,
Comme abandonné de tout
Mais je l'ai bien cherché
Je l'ai bien cherché
A force de m'accrocher à toi
Changer les meubles de place
Pour changer ma tête
Changer ma vie
qui se vide de sens
Sans toi pour moi
Changer tout au tout
Devenir quelqu'un d'autre
Pour mieux m'aprivoiser.
Quelqu'un de vrai
Voilà ce qu'il me faut
Une femme qui sache
M'user comme il le faut
Aller au bout de nos rèves
De nos exigeances

Frédéric COTTA (poete-fada)
16 décembre 2002
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26 nov. 2002

S.O.S

Encore un, un de plus, un de ces messages qui frôlent les S.O.S que l'on peut lire partout.
Qu'ai je de plus à proposer que tous (toutes) les malheureux (ses) qui cherchent désespérément à remplir leur coeur devenu froid d'émotions redécouvertes, de nouveauté, de passion et de baisers ?
Je suis sans doute le plus mal placé pour le dire, peut être en discutant ensembles, peut être en partageant un bout de vie; une amitié naissante ou plus qui sait ...
Avant que la terre ne se consume tout comme mon coeur est brûlé
A force d'avoir aimé des chimères où tout s'est envolé
Avant que la marée n'aie submergé tout amour de ma vie
Avant que tous les oiseaux soient définitivement partis
D'où l'idée d'un ptit message, comme une bouteille à la mer;
Pour combler ce froid qui envahit mes doigts et peu à peu mon coeur qui battait autrefois pour d'autres coeurs.
Laissez un ptit message, ici ou sur le mail.
Et qui sait ...
Et qui sait ...
Qui sait ce qu'apportera demain et ce que nous y trouverons
Qui sait tout ce qui sera nouveau et que nous attendions
Qui sait comme le soleil inondera nos coeurs si froid
Qui sait toutes les merveilles qui sublimeront nos émois
Qui sait ce que l'avenir réserve aux perdus comme nous
Qui sait que tous nos désirs c'est de ne plus être a genoux
Et courir enfin ensemble, redécouvrir les rues
Et ne pas changer de trottoir en croisant un coeur perdu
Aimons nous
Aimons nous

Frédéric COTTA (poete-fada)
26 Novembre 2002
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22 nov. 2002

Avance !

Quand t'as envie de tout lacher
Avance
Même si c'est plus dur d'aller dans ce sens
Et s'il faut y croire encore un peu
Avance
Et même si tu n'as plus d'espoir
Avance
Même si ça semble être de l'inconscience
Avance
Redresse la tête même si c'est dur
Avance
Claque la porte, prend l'escalier
Descend dans la rue illuminée
Crie ta joie au monde
Ta peine à la terre
Même si c'est dur
D'avoir les pieds sur terre
Avance
Du brouillard sortira un jour la lumière
Et tes malheurs seront derrières
Avance
Et même si t'y crois pas
Et même si t'y crois plus
Que ta vie te semble perdue
Avance
Tout le monde a une seconde chance
Même si partout la guerre avance
Et même s'il paraît que t'as aucune chance
Avance
Le soleil finira par dissiper la brume
Et cela sera la lumière
Alors tout sera clair
Avance
Relève la tête et inspire fort
Fais face à tous tes désirs
Personne ne peut les détruire
Sauf toi.
Si tu n'avances pas
Avance
Redresse la tête et avance
Tout le monde prend des gamelles
La vie n'est pas éternelle
Avance
Et garde en toi
Ce petit bout d'enfant
Qui fait de toi
Que tu y arriveras
Même si c'est dur
Que cela te paraît irréalisable
Le soleil finira par dissiper la brume
Alors tout sera clair Même si c'est dur
D'avoir les pieds sur terre
Avance

Frédéric COTTA (poete-fada)
22 novembre 2002
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19 nov. 2002

Seul dans ce monde froid

Seul dans ce monde
Où rien ne semble fait pour moi
Je te cherche toi qui me parle tout bas
Et dans la poussière de mes souvenirs
Tu sembles si proche et si lointaine
J'aimerai savoir où tu te traines
Seul dans ce monde
Il y fait si froid
Des guerres à la télé
Qui n'en finissent pas
Où es tu passée
Amour sincère et véritable
Force de paix, insaciable et vraie
Combien d'homme mourront encore
Combien d'enfants sous les décombres de la mort
Combien de femme éventrées en leur sein
Combien de maisons détruite par des êtres malsains
Assoiffés de pouvoir, d'argent, de reconnaissance
Ils ne prêchent que la cruauté de l'âme et l'inconscience
Qu'il s'agisse de guerre à balles réelles ou économique
Du poid de leur ignorance ils détruisent la vie
Où se cachent ils, loin de tout, dans leurs boomkers
Bien à l'abri de telles fureurs
Engagés par leurs soins, ou par une simple erreur
Seul dans ce monde
Où rien ne semble fait pour moi
Je te cherche toi qui me parle tout bas
Et dans la poussière de mes souvenirs
Tu sembles si proche et si lointaine
J'aimerai savoir où tu te traines

Frédéric COTTA (poete-fada)
19 novembre 2002
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10 nov. 2002

Mes peurs

Le lit est défait, les draps dépliés
Ton odeur rode autour
Qu'ai je donc fait pour mériter
Tous ces drames de l'amour

Tu es partie et tout est fini
Que vais je faire de moi
Qu'ai je donc fait pour mériter
Tant de déboires amoureux

Dis le moi,
toi qui vaux mieux que moi
Ton parfum rode dans la piece
Il m'ennivre pire que le gin

Comment puis je éteindre
Le feu qui fait vibrer mes sens
Qu'ai je donc fait pour mériter
De te connaître et de te perdre

La vie n'est elle qu'un labyrinthe où je me perds ?

Tu es partie
Tout est fini
Où dois je faire ma vie ?

Encore une fois me voilà moi
Confronté aux peurs d'être seul
Pour finir ma vie

Frédéric COTTA (poete-fada)
10 novembre 2002
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7 nov. 2002

Je te laisse de côté

Tant de conneries j'ai fait
J'y ai cru jusqu'au bout
Je me trompais
Te voilà mariée
Biensur j'osais espérer
Que dans ton choix je compterais
Mais peu importe à présent
Te voilà mariée pour de bon
Pas avec moi, sans un regret
Alors adieu je te dis
Sans doute un jour
J'en rirai aussi
Jusqu'au bout j'y ai cru
Jusqu'à la folie j'y ai cru
Jusqu'à la mort de mon âme j'y ai cru
Mais Tout est fini
Tout est perdu
Il ne reste que moi qui ne sais pas dire nous
Alors je vais réapprendre
Avec une autre parmi tant d'autre
Cette mélancolie passera
Et j'oublierai ton nom
Et j'oublierai ton parfum
Et j'oublierai ta peau que je ne voulais tant posseder
Et Je découvrirai de nouveaux parfums
De nouvelles façon d'aimer

Je te laisse de côté.

Frédéric COTTA (poete-fada)
07 novembre 2002
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1 nov. 2002

Tout plaquer

Lorsque l'amour s'en va
Lorsque le destin n'es plus là
C'est comme si vous n'étiez qu'une ombre
Lorsque la chance s'en va
Et que le destin n'es plus là
C'est comme si c'était le royaume des ombres
Lorsque la vie s'en mèle
Et que tout autour s'enmèle
Comme une pelote de laine
Et quand l'espoir s'en va
Qu'il ne reste plus que moi
Face à face avec moi même
J'ai envie de tout plaquer
J'ai envie de respirer
J'ai envie de changer celui qui sommeille au fond de moi
Comme un passager interdit

Frédéric COTTA (poete-fada)
01 novembre 2002
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29 oct. 2002

Et si l'amour frappait à ta porte ?

rien ke ça ... tu attends l'amour ?
Et s'il frappait à ta porte, lui ouvrirais tu ?
Ouvrirais tu les yeux sur celui qui s'approche ?
Sentirais tu le parfum qu'il dégage ?
Serais tu capable d'être volage ?
Sur quels critères fondes tu ta réflexion ?
Sur quels choix se portent tes yeux ?
Sur quelle sensation penses tu le trouver ?
Parfois le coeur le mieux éclairé a besoin d'aide ...
Un chant de cigale qui s'arrête,
un nuage qui part au loin,
Une ombre disparaissant au lointain.
Parfois l'amour sonne à ta porte
Et tu penses que c'est le marchand de journaux.
Parfois tu le croise dans la rue
Sans te dire qu'y ai-je perdu ?
Regarde mieux, regarde plus loin
Pense à tous ceux que tu as déçus
Pense à tous ceux que tu as perdu

Frédéric COTTA (poete-fada)
29 octobre 2002
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26 oct. 2002

Le purgatoire

Assez de temps a passé
Et j'ai vraiment morflé
Le purgatoire c'était
D'être si loin de toi
Assez de temps a passé
Et j'en étais à compter
Les jours qui me séparaient de toi.
Il fallait que je réveille
L'homme qui était en moi
Il fallait que je revienne
Tout près de toi
Et même si tu veux pas
Comme c'était autrefois
J'en ai assez d'être puni comme ça
Laisse moi une chance
De sortir du purgatoire
Je n'ai pas eu de chance
Dans ma vie d'amour sans toi
Laisse moi venir
Tout près de toi
Et découvrir
Ce que tu m'as caché jusque là.

Frédéric COTTA (poete-fada)
26 oct 2002
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13 oct. 2002

Tes yeux

La 1ere chose que j'ai vu ce sont tes yeux
Illuminés par le soleil couchant
D'un vert olive doré par les rayons couchants
Comment pourrais je résister longtemps ?

Tu as brisé le peu de glace qui restait en moi
Tu m'as laissé changé, je ne sais pas en quoi
Peut être un peu plus de confiance en moi
Et pourtant, ce fut très court.

Il aura suffit d'une seule rencontre entre nous
Et de quelques minutes à tchatcher dans une voiture
Aura t il suffit que je te rencontre ce jour
Pour mieux cerner qui je suis vraiment ?

La 1ere chose que j'ai vu ce sont tes yeux
Bercés par le soleil couchant
D'un vert olive doré par le soleil luisant
Comment pourrais je résister bien longtemps ?

A l'heure qu'il est je ne sais pas ce que tu ressens
Ai-je été au moins là la hauteur de mes sentiments
Aura t il suffit d'un seul moment entre nous ?
Pour convaincre 2 ames qui se cherchent résolument ?

La 1ere chose qui m'a plu ce sont tes yeux
D'un vert olive baignés par l'océan
Et le soleil qui palissait d'envie devant eux
Comment pourrais je résister bien longtemps ?

Frédéric COTTA (poete-fada)
13 octobre 2002
(pour mélanie)
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29 sept. 2002

Chaque larme

Chaque larme est une goutte de sang,
Chaque larme est une pensée,
Chaque larme est un peu de moi
Qui s'en vas dans un monde
Où tu n'appartiens qu'à moi.

Et je pense à toi
Chaque jour qui se passe
Chaque Heure qui s'en va
Me rappellent durement
Que tu es près de moi

Tu es près mais si loin
Si décidée à me faire mourir d'amour
Encore et encore tu me repousses
Jusqu'à quand pourrais je me retenir
Jusqu'à quand pourrais je me tenir

Tu es celle qui m'a inspiré mes plus belles lignes
Tout comme tes lignes ont longtemps inspiré mes fantasmes.
Sans toi, je ne saurais pas ce que c'est que d'aimer
Je vendrais mon âme au diable
S'il me permettait de passer un instant à tes côtés.

Mais même le diable ne peut rien pour moi
Tant je suis un cas désespéré
Désespéré par le peu d'amour que tu m'apportes
Désespéré par le peu d'attention que tu me portes
Tant il est désespéré de t'aimer encore et encore.

Frédéric COTTA (poete-fada)
29 septembre 2002
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22 août 2002

Running like a mad

I was running like a mad
Hoping to find you in the dark
In the darkness of my night
You weren't there at last

I was running like a dog
Hoping to find you in the smog
In the cold smog of london
You weren't there

I was running like a fool
Hoping to find you at the swimming pool
Hoping that your eyes might be blue
You weren't there too

I met a lot of people
Asking them where to go
All of them may have thought
I was a fool

And finally loves comes to me
Like an angel you appeared to me
Stars were shining at last to me
And both of us were happy

Frédéric COTTA (poete-fada)
Le 22 aout 2002
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Happy at last

When you came into the place
And I said to friends
“look at her”
I couldn't imagine
We could be so fast together, no
It seems as I jumped
As my heart was already
doing for you, doing for you

You were nice with your dress
You were looking as a queen, a princess
Then how could I guess
That two hours after
I'd be your king
And now I'm just hoping
We will stay together

How could I know that all my dreams
'come true with you ?
I'd be your king as long
As you want me too
If god has given me a chance to be happy at last
I don't wanna loose it

2 of my friends
knowned 1 of yours
They talked of us together
and it seemed that you saw me too
What should I have to do then ?
I didn't wanted to look like a dog
Jumping to you as a rude boy
You just can't imagine how shy I am.

So, at last, I came around you
And I asked for a dance
You said “yes”; I was at glance
Stars were shining to me at last

We danced a lot
'till the end of that night
We spoke a loot too
About our lifes

It appeared to me
That we were closer
But how could I imagine
We were so closer

How could I know that all my dreams
'come true with you ?
I'd be your king as long
As you want me too
If god has given me a chance to be happy at last
I don't wanna loose it

Frédéric COTTA (poete-fada)
le 22 aout 2002
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Love has forgotten me on the road

No kisses, no caresses
It seems as if love
has forgotten me on the road

I feel lonely
Without anybody
To say that she loves me

I wonder find you
No matter how to
But find you

No kisses, no caresses
It seems as if love
Has forgotten me on the road

I need that
I want that
If you hear me just come

'cause love has
Forgotten me
On the road

I feel lonely
Without anybody
To share my body

Frédéric COTTA (poete-fada)
le 22 aout 2002
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Dead Promesses

Dead promesses
From the heart of a child
Never keep in touch
With your heart

Life is so funny
What you intend to have
Are all the things
you can't have

And you do
Anything for
Have it but it always
does get away

And if ever
You get it
You have no more
Interest in it

Dead promesses
From the heart of a child
Never kept in touch
With your heart

with your heart

Frédéric COTTA (poete-fada)
le 22 aout 2002
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16 juil. 2002

Je n'aime que toi

J'aime quand tu me regardes
Avec tes yeux dévorants
J'aime tes cheveux
Qui ondulent le long de ton corps
J'aime l'électricité dans l'air
Chaque fois que l'on se dispute
Car cette électricité se transforme
En plus de calins encore qu'auparavant

J'aime quand ta bouche frole la mienne
Et que mon coeur s'emballe
J'aime consoler tes pleurs
Lorsqu'un autre t'as fait du mal.

J'aime le parfum que tu portes
Et qui ennivre mes sens
J'aime quand je te touche
Et que ta peau frémis sous mes doigts

J'aime quand tu te retiens
Puis quand tu te laches enfin
J'aime quand nos corps finissent la nuit
éreintés par tous nos vas et viens

j'aime te sentir près de moi
j'aime l'odeur de ta peau sur la mienne
j'aime tes sourrires et tes moindres soupirs,
Je n'aime que toi et ne vois que toi.


Frédéric COTTA (poete-fada)
16 juillet 2002

16 juin 2002

Game over

You came into the room and it felt as if I was becoming a fool
No matter who you were and who I am too
I wanted to take you up and down
What have you done to me ?
I am not sure
It seems as if I was becoming a fool
Full of love and passion for you
You were dangerous to me
I wanted you, no matter the way I will
The jail, the cost or the ennemies
I wanted you
That was all for me.
No matter you were alone or not
No matter if you accept or not
I wanted you.
I was becoming crazy for any breath you took
My madness improved me to take plans
On how to capture you if you even refused me
Then I walked up to you and we talked a little
You finally accept a dinner with me
We took good times staying together
Now you are leaving me
Another took my place
But we did have good times I surely remember
Be as happy with him you've been with me
Now the game is other, we played, I lost.

Frédéric COTTA (poete-fada)
16 juin 2002
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27 mai 2002

Aime la terre

Notre planète est bien malade
Malade de nos guerres atroces
Les enfants qui tombent sont des gosses
Et nos vies sont pourries
Pourries comme le sont nos rivières
Comme le sont toutes nos mers
Et nous en mangeons les poissons
Qu'avons nous fait ?
L'air que nous respirons
Et si impur et sale
Nos enfants comme nous mêmes
Sont de plus en plus malades
La terre que nous cultivons
Est souillée par les pesticides
Et les OGM en sont des nouveaux
Nous ne sommes pas certains
De pouvoir les manger sans crainte
Si, comme moi
T u te demande que faire
Je te répondrais mon frère
De te servir de ton amour
Amour de la terre
Pour mieux la soigner
Ampur de notre air
Pour mieux le respecter
Amour de l'eau
Pour la protéger
Amour de nos frères et de nos soeurs
Pour que cessent les guerres
Et que vienne enfin la paix
Qu'il n'y ait plus de misère
Ni de déshérités
Pour que cessent les guerres
Et que vienne enfin la paix
Pour nos enfants
Et pour la Terre
Refaire un monde sans haine
Et sans aucune guerre

Frédéric COTTA (poete-fada)
27 mai 2002
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24 mai 2002

Pars

S'il n'est plus possible de continuer,
Si pour toi partir sans un seul regret
Est la conséquence de mes erreurs
Pars, laisse moi la douleur

Si je n'arrive plus à te faire rire
Si je n'ai plus rien pour te retenir
Si l'amour que j'ai ne suffit pas
Pars, laisse moi

Un matin de printemps je t'ai vue
Et tout de suite jme suis mis à nu
Comme si je pouvais te dire

En quelques mots mal choisis
Cet amour fou qui me trahis
J'ai tant besoin de l'écrire

Où que tu sois, où que t'ailles
Écris moi même de l'Espagne
Ne me laisse pas sans nouvelle de toi

J'espère au moins qu'il te fait rire
Et fait l'amour mieux que je ne le fais
Qu'il apprécie tes soupirs
Quand à la fin l'extase se fait

Et qu'il est bien plus beau que moi
Ça mferait du mal sache le en toi
Que tu m'ais viré pour un ane
Sans foi ni loi

Mais

S'il n'est plus possible de continuer,
Si pour toi partir sans un seul regret
Est la conséquence de mes erreurs
Pars, laisse moi la douleur

Si je n'arrive plus à te faire rire
Si je n'ai plus rien pour te retenir
Si l'amour que j'ai ne suffit pas
Pars, laisse moi

Frédéric COTTA (poete-fada)
24 mai 2002
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10 mai 2002

Partir

Partir au loin
S'achapper du quotidien
Partir au loin
Oublier les contraintes
Aller aussi haut
Que le vent nous pousse
Prendre le dernier train
Où le premier avion
Mais partir, partir loin
Loin de toi
Loin de moi
Loin de ce qui me pousse vers toi
J'ai si peur
De mes erreurs
Je voudrais te revoir
Mais mon coeur
Ne le supporterai pas
Alors partir, au loin
Prendre n'importe quel chemin
Tout oublier et t'oublier
Si seulement cela m'était donné
Et vivre encore
Encore, encore plus fort
Un amour fou avec une autre
Une autre que toi

Frédéric COTTA (poete-fada)
10 mai 2002
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Pas même

Le ciel qui se rapelle
Tout ce que je n'ai pas dit
Tout ce qu'à présent j'oublie.

Si je t'ai fait du mal
C'est sans doute sans vouloir
Comment aurais-je pu ?

Faire du mal à celle
Lui dévorer les ailes
Alors que je n'en peux plus

Plus de lui dire je t'aime
Tellement je l'aime
Je voudrais que jamais

Jamais rien ne sépare
Nos corps enlacés
pas même, pas même

Pas même la mort qui rode
Pour emporter notre amour
Pas même le sort qui viendra encore
Briser notre amour

Pas même la peine
Pas même la haine
S'il le faut je me ferai la guerre

Pour rester avec toi.

Frédéric COTTA (poete-fada)
10 mai 2002
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20 avr. 2002

Être père

Je me lève doucement pour ne pas te réveiller
Tu dors à point fermés que c'est beau de te voir ainsi
Je ne rêve plus tu es près de moi maintenant
Tant de galère ont passé et je sais maintenant
Qu'il est beau d'être père d'un enfant
Et de pouvoir te regarder dormir maintenant
Ta mère et moi sommes fiers
D'avoir pu pouvoir te faire
Tant de galère et de souffrance et pourtant
Qu'il est beau d'être père d'un enfant
De le voir s'épanouir et devenir grand
Que j'en oublie l'enfer et toutes les misères
Tellement je suis fier de ce que j'ai du faire.
Qu'il est beau d'être père d'un enfant
De contempler son lit doucement
Pourquoi partir en guère
Nous sommes tous des pères
Laissons de côté la colère
Pour nous occuper de nos enfants.
Qu'il est beau d'être père d'un enfant
Ta tétine dans la bouche
Ton doudou dans le lit
Et ton père qui contemple tout ceci le ravit.
Dors bien, petit homme.
Dors bien mon petit.

Frédéric COTTA (poete-fada)
20 avril 2002
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12 févr. 2002

La nuit nous appartient

La nuit nous appartient
Il faut savoir l'user en bien
Laissons nos corps explorer le terrain

Laissons nous guider par le moment
Et faire ressortir nos sentiments
Il faut user de nos charmes assurément

Viens, dans le lit au creux de mes bras
Laisse moi t'effleurer de mes doigts
Et emmène moi où tu voudra

- Je suis à toi -

Laisse toi guider par le désir
Et qu'enfin nous poussions le soupir
D'une nuit restée sans dormir

Tout, oublions ce qui nous sépare
Pour nous retrouver de l'autre côté du miroir
Laisse moi pénétrer ton regard

- Oh heureux hasard -

Viens, te blottir contre moi
Et amplifions nos émois
Passons cette nuit toi et moi

Loin, de tout ce qui sépare le monde
Des guerres, des morts et des bombes
Laissons nous aller à la fronde

Ne laissons rien troubler notre corps à corps
Que je te déguste encore et encore
Et que nous poussions l'effort
De la nuit tombée à l'orée du jour

Frédéric COTTA (poete-fada)
12 février 2002
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.

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Première fois

Les mains moites mais le coeur décidé à me battre
J'avance vers ce corps inconnu
J'ai tant rêvé de cette soirée importante
Que mon corps ne saurait résister à tes charmes

J'ai tant attendu ce moment
Que je suis arqué et saillant
Mon esprit ne pense qu'à une chose
Être à la hauteur de tes attentes

Cette première nuit que je vis avec toi
C'est comme si c'était la première fois.
À Chaque seconde j'ai peur d'aller aussi vite
Que les milles sentiments qui m'habitent

Croire en un rêve et le réaliser
Toi et moi échangeant un baiser
J'ai tant voulu y croire, suis-je encore dans mon rêve
Laisse nous dévorer le ciel, faire pâlir les étoiles

Que cette nuit magique s'en aille
Au lever du matin
Harassés par les va et viens

Que dans nos mémoires et nos grimoires
Soient écris l'espoir au lieu du désespoir

Que tout ce monde s'agite et enfin cogite
Pour plus d'amour sur terre

- Ne plus vivre un enfer -

Laisse moi t'enlacer encore plus fort
Aime moi encore et plus fort

Que cette nuit magique s'en aille
Au lever du matin
Harassés par les va et viens

Que cette nuit magique s'en aille
Au lever du matin
Harassés par les va et viens

Frédéric COTTA (poete-fada)
12/02/2002
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Basta

Basta
Ce ne sono basta
Basta di correre doppo l'amore
E basta di cercare un'altra te

Basta
Ce ne sono basta
Da questa realta che sono solo alle 26
Basta di cercare un'altra me

Basta
Ce ne sono basta
Basta che voglio questo
Che non sei capace da darmi

Basta
Ce ne sono basta
Ma non sono capace di
fare un'altra scelta

Basta
Ce ne sono basta
Da dove sei la donna che mi farà dimenticarti
Voglio trovarla prima di essere diventa (fou)

Basta
Ce ne sono basta
Ce ne sono basta

Basta
Ce ne sono basta
Ce ne sono basta

Frédéric COTTA (poete-fada)
12 février 2002
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2 févr. 2002

Dance with me

Let me take your hand
Let me take your hand
Let me take your hand
Woaw

She says no no no no no no
(she says) no no no no no no

Girl, I wanna take your hand
could I get with you
It's just I would
Like to have a dance
So let me perform with you
It's not about (something else)
Just a dance
It's all
I demand

Just dance with me
I'm not the man you think I am
I'm just here to have a dance
(No matters what could happen then)

Just dance with me
It's not about something else
Just come on the dance floor

Just dance with me
I wonder take your hands
and shake you on the dance floor

So dance with me
(come on yeah, yeah, yeah)

Dance with me
I couldn't accept nobody else
to dance with me tonight but you

Dance with me
Let me take your hands
and dance thru the night baby

Dance with me
come on, yeah, yeah, yeah

Frédéric COTTA (poete-fada)
02 février 2002
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21 janv. 2002

Chercher en vain

Marre de chercher en vain
Ma place dans ce monde anodin
Où tout semble acquis et pourtant
Il se faut se battre au présent
Garder la tête froide
Maîtriser les événements
Ne pas partir en guerre
Contre tous ceux qui le voudraient
Je voudrais trouver ma place
Dans ce monde agonisant
Où tout n'est que prison de glace
Sans teint, menant au néant
J'aimerai poser les armes
J'aimerai verser des larmes
Car je perds peu à peu le contrôle
Le contrôle et la vue
De mes désirs d'enfants

Frédéric COTTA (poete-fada)
21 janvier 2002
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