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blog des textes de poete fada (frederic cotta)

29 mars 2010

Just you

I'm leaving work
To be with you
I wanna hold you tight
and keep you warm

I wanna be where you are
Here or there but just with you
Keep your heart warm
On the winter blade

I feel so sad
When you're not with me
All day long
I can't stop thinking about you

I feel empty the way
Is a cola bottle
and I Would do my best
Just to keep you warm until I rest

Until there,
I wanna be where you are
Hear your voice calling our kids
Feel your chest when you breath
warm your heart the way I only can do

Pour Vanessa
Frédéric COTTA (poete-fada)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.

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11 mars 2010

À force de ...

À force de chercher la petite bête au fond de l'autre,
À force de rêver à l'être parfait, sans faute
Tu finis par perdre tous ceux qui t'entourent

À force de déchirer les mots qu'ils t'ont écrits
À force de briser l'amour qui est prescrit
Tu finis par perdre tous ceux qui t'entourent

Et moi j'arrive à peine à mettre quelques mots
Et j'arrive dans ta vie, imparfait et nigaud
Alors que j'aligne mes mots sur un piano

À force de décliner les cadeaux de tes amants
À force de refuser de vivre au présent
Tu t'interdis l'amour et la tendresse de ceux qui t'entourent

Reviens me voir demain et le ciel sera bleu
Je suis certain que tu verras dans mes yeux
Ma différence viendra à bout de tes lubies fallacieuses

Frédéric COTTA (poete-fada)
11 Mars 2010

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7 mars 2010

Sais-tu ?

Sais-tu que chaque seconde loin de toi me plonge dans la tourmente ?
Sais-tu que dès la première fois mon esprit s'est embrouillé ?
Sais-tu qu'au travail je n'arrive pas à me concentrer
Tellement ton image vient me harceler

Et dans mon esprit des pensées insensées
Je nous vois enlacés dans l'herbe fraîchement coupée
Et je sens cette odeur, ma peau frissonne
Je sens ton doux parfum et imagine la candeur de tes baisers

Et tout ceci n'est que mirage
Pourtant je voudrais bien
Prendre ton corps en ôtage
Et réchauffer nos coeurs sur un grand drap de plage

Sais-tu que chaque seconde qui passe je pense à toi
Et mon imagination vagabonde au bureau
Dans le bus, à pied, ou en métro
Comme une chanson lancinante que l'on écoute sans cesse.

Le sais-tu tout cela ?

(Pour Vanessa)
Frédéric COTTA (poete-fada)
07 Mars 2010

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À corps perdu

Quand je te regarde et que tu t'assoies auprès de moi
Je sens mon cœur battre la chamade plus vite à chaque fois
Tu me fais vibrer si fort dès que tu poses tes mains sur moi
Je veux danser encore et serrer plus fort ta peau contre moi

Quand les yeux dans les yeux je te chante une chanson
Un vieux tube ou une récente mélodie
Quand tes mains me serrent fort que nos corps à l'unisson
Font vibrer tous les accords d'une berceuse

Toutes mes nuits jusqu'à ma mort je veux passer près de toi
Mettre nos corps en sueur lors de chacun de nos ébats
Et si un jour je devais partir plus loin que là bas
Étreindre une dernière fois ton cœur tout contre moi

Frédéric COTTA (poete-fada)
07 mars 2010
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