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blog des textes de poete fada (frederic cotta)

10 oct. 2010

Up 2 next level

J'ai grandi comme une mauvaise herbe,
J'ai pris des risques que j'assumes
J'ai commis les erreurs qui font l'homme que je suis

J'ai fait de mon mieux
Parfois j'ai gagné
J'ai pris les chances qui s'offraient

I wanna go up 2 next level
Effrayer mes craintes,
Construire un avenir
I wanna go up 2 next level
Exploser ces murs qui ruinent mon futur

J'ai cru les menteurs
J'ai menti aussi
Je ne suis qu'un être humain parmi cette nuée

Puis-je aller plus haut ? je ne sais !
Puis-je pardonner ? je ne sais pas
Dois-je m'assoir et prier pour qui ?

I wanna go up 2 next level
Effrayer mes craintes,
Construire un avenir
I wanna go up 2 next level
Exploser ces murs qui ruinent mon futur

Trouver LA formule
Qui comblera
Ce vide immense que je créé autours de moi

Construire mes règles
Respecter mes lois
Faire que s'achève cette destruction de moi

I wanna go up 2 next level
Effrayer mes craintes,
Construire un avenir
I wanna go up 2 next level
Exploser ces murs qui ruinent mon futur


Frédéric COTTA (Poete-Fada)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Creative Commons License

5 oct. 2010

j'étais là !

J'étais là pour ton premier sourrire, tes premiers pleurs, ta première dent et tes premières frayeurs;
J'étais là, assis près de toi, jamais loin, scrutant du regard tes premiers pas et tes blessures et tes chagrins;
J'étais là avec mon amour et mes erreurs, j'ai essayé de t'apprendre la vie comme un père protecteur;
J'étais là, je voulais que tu saches éviter les pièges que la vie m'a tendu avec tellement de hargne;
J'étais là et tu m'écoutais, pourtant c'est parmis les gens que j'aime que je puise ma force;
J'étais là, et puis un jour tout a basculé, je ne sais pas pourquoi, ni comment me l'expliquer;
Je suis là, mais t'as grandi, tu t'es émancipé, t'as fait du chemin et parfois je me sens renié;
Je suis là, je sais quelque part dans ton coeur, il y a une place pour mes erreurs et mon amour
J'étais là, et je le serais toujours

Frédéric COTTA (Poete-Fada)
Bon anniversaire, Rudy (17 ans), mon filleul
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2 août 2010

je saigne

J'ai beau être fier et rester souvent droit
J'ai beau être froid comme si ça m'atteignait pas
J'ai beau tout faire pour que ça se voit pas
Je saigne au plus profond de moi

Toutes ces batailles gagnées, perdues, jouées
Sous la mitraille on compte les blessés
Et cette haine qui ne fait que couler
Comme coulent mes larmes devant la télé

C'est comme notre hisfoire qui s'arrète
Comme cette illusion de bien être
Qui s'efface peu à peu de nos mémoires
Je saigne mais je ne le montre pas

Tant de rêves brisés en plein ciel
Tellement d'idées brulées par le soleil
Tant de joie étouffée par la misère
Et toi que le vent emporte au loin

Nous avons joué la partition facile
Les désaccords sont restés en exil
Tant de choses nous séparent
Je saigne, mais au revoir

(à Laurence)
Frédéric COTTA (Poete-Fada) Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Creative Commons License

19 juil. 2010

C'est fini

Tout nous oppose, tout nous attire
Du ressentiment et du désir
Plus de 10 ans sans connaitre ces moments là
Et te voilà, devant moi, je dois faire des choix

Quelques femmes ont traversées ma vie
Je n'ai que peu de souvenirs
Tu m'as ouvert tes bras
J'ai si peur de moi

Toutes ces années passées à attendre
Mais je sais qu'on ne peut vivre ensemble
Sans économiser nos efforts pour changer
Façonner cet amour maintes fois égratigné

Toutes ces années passées à me défendre
Mais je ne sais si nous arriverions à vivre ensemble
Tant de concessions et en face rien
Comment veux-tu que cela marche bien ?

Partir à Aubagne, plus d'une heure de route
Rester à Marseille mettrait notre couple en déroute
Et ta façon si particulière de me surveiller
Faire le vide autours de moi, je refuserais.

Tellement de choses à changer, à prendre en considération
Ta vie et la mienne chamboulées à la moindre occasion
Je réfléchis chaque seconde à cette grande équation
Je n'ai comme seul recours que de briser notre union

(pour Laurence)
Frédéric COTTA (Poete-Fada) Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Creative Commons License

12 juil. 2010

Monday

It's monday, I wake up and I'm sleepy
All the week it will be
Got to leave my home and go to work
And the boss is gonna be creepy
Leaving you and your kiss,
Getting in the subway
All those people around ain't smiling
If I could I would be in another place
But this the way it will be
It's my life
All day, all week
at a desk far from beach
All I want is to have some time for us
But the boss is creepy
People ain't smiling
I wonder if we could be happy
If I have no money
What a monkey business
Could we live without all those things
Internet, satelite TV, mobile phone
Home phone we're gonna crazy
All week, all the day
The same song
I just wanna go away
Ain't no pleasure sitting there
Tell me baby
Would you come with me
If I devide we're goin' out
Take a breath just for us
Far from this crazyness
Would you come with me
To a place where we could live
Without any technology
Would you dare leave all of this

12/07/2010
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Creative Commons License

7 juil. 2010

Blame me

Maybe I don't know what I want
Maybe I'm too much selfish but
Blame me if I say
She's not the one

Maybe I need again to proove something to myself
But I'm not in love at all
And Whatever I try to do
The truth is she's not the one

Ain't this little blaze inside of me
Ain't this special melody to my heart
Ain't those little butterflies
That could make my heart really embrase

When I see her, there's nothing at all
When I hear her, her voice don't recall
And I remember that I've done this before
Ain't nothing at all, she's not the one

So as I come along and fake it all
Maybe I needed an intermede to sustain
And I'll have to wait for the good one
Maybe I have wait too much now

Anyway, I've tried again
Even if I knew she's not the one
I did my best not to make her suffer
But she's not the one I need

(pour laurence)
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
07 juillet 2010
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Creative Commons License

15 mai 2010

Quand un marin

Quand un marin rentre au port
Il cherche sa dulcinée
Et comme lui dans la foule
Je cherche ma fiancée

J'ai traversé la houle
Fait quelques erreurs
Et dans la foule qui grouille
Je ne la trouve point

Comme les marins qui rentrent au port
Je l'ai longtemps cherché
Et la foule qui part du port
Me laissant seul, à pleurer.

Je voulais tant croire
Que les mots doux laissés
Mais la raison l'emporte sur l'espoir
Je ne peux que le constater

15/05/2010
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Creative Commons License

29 mars 2010

Just you

I'm leaving work
To be with you
I wanna hold you tight
and keep you warm

I wanna be where you are
Here or there but just with you
Keep your heart warm
On the winter blade

I feel so sad
When you're not with me
All day long
I can't stop thinking about you

I feel empty the way
Is a cola bottle
and I Would do my best
Just to keep you warm until I rest

Until there,
I wanna be where you are
Hear your voice calling our kids
Feel your chest when you breath
warm your heart the way I only can do

Pour Vanessa
Frédéric COTTA (poete-fada)
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11 mars 2010

À force de ...

À force de chercher la petite bête au fond de l'autre,
À force de rêver à l'être parfait, sans faute
Tu finis par perdre tous ceux qui t'entourent

À force de déchirer les mots qu'ils t'ont écrits
À force de briser l'amour qui est prescrit
Tu finis par perdre tous ceux qui t'entourent

Et moi j'arrive à peine à mettre quelques mots
Et j'arrive dans ta vie, imparfait et nigaud
Alors que j'aligne mes mots sur un piano

À force de décliner les cadeaux de tes amants
À force de refuser de vivre au présent
Tu t'interdis l'amour et la tendresse de ceux qui t'entourent

Reviens me voir demain et le ciel sera bleu
Je suis certain que tu verras dans mes yeux
Ma différence viendra à bout de tes lubies fallacieuses

Frédéric COTTA (poete-fada)
11 Mars 2010

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7 mars 2010

Sais-tu ?

Sais-tu que chaque seconde loin de toi me plonge dans la tourmente ?
Sais-tu que dès la première fois mon esprit s'est embrouillé ?
Sais-tu qu'au travail je n'arrive pas à me concentrer
Tellement ton image vient me harceler

Et dans mon esprit des pensées insensées
Je nous vois enlacés dans l'herbe fraîchement coupée
Et je sens cette odeur, ma peau frissonne
Je sens ton doux parfum et imagine la candeur de tes baisers

Et tout ceci n'est que mirage
Pourtant je voudrais bien
Prendre ton corps en ôtage
Et réchauffer nos coeurs sur un grand drap de plage

Sais-tu que chaque seconde qui passe je pense à toi
Et mon imagination vagabonde au bureau
Dans le bus, à pied, ou en métro
Comme une chanson lancinante que l'on écoute sans cesse.

Le sais-tu tout cela ?

(Pour Vanessa)
Frédéric COTTA (poete-fada)
07 Mars 2010

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À corps perdu

Quand je te regarde et que tu t'assoies auprès de moi
Je sens mon cœur battre la chamade plus vite à chaque fois
Tu me fais vibrer si fort dès que tu poses tes mains sur moi
Je veux danser encore et serrer plus fort ta peau contre moi

Quand les yeux dans les yeux je te chante une chanson
Un vieux tube ou une récente mélodie
Quand tes mains me serrent fort que nos corps à l'unisson
Font vibrer tous les accords d'une berceuse

Toutes mes nuits jusqu'à ma mort je veux passer près de toi
Mettre nos corps en sueur lors de chacun de nos ébats
Et si un jour je devais partir plus loin que là bas
Étreindre une dernière fois ton cœur tout contre moi

Frédéric COTTA (poete-fada)
07 mars 2010
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25 févr. 2010

Si j'osais ...

Si j'osais, je te dévorerai des yeux
J'oublierai tous ces gens et te prendrai dans mes bras
Je t'enlacerai, j'en ferai des envieux
Et te ferais tourner la tête

Si j'osais, je t'embrasserai fougueusement
Laissant leur préjugés sur le lieu et l'instant
Pourtant, je voudrais tellement
Te serrer contre moi juste quelques instants

Si j'osais, je te donnerai ces mots
Tu es à quelques mètres mais je ne dis mot
Ton pied se balance et tu jettes un regard inquiet
Sur cette porte qui s'ouvre et se ferme sans arrêt

Si j'osais, je te donnerai mon portable
En me demandant tout de même si tu le relèveras
Mais voilà qu'il t'appelle à ton tour, à ta voix
Si le destin s'en mêle, je ferai le premier pas.

(Pour Vanessa)
Frédéric COTTA (poete-fada)
25 Février 2010

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16 févr. 2010

Sur la route

Vole au dessus des problèmes
Plane au dessus de la misère
Cette vie est la tienne
Tu dois en reprendre le destin

Rattraper les heures de doutes
Répondre aux questions attendues
Reprendre le chemin de ton voyage
Aller vers les autres, quoiqu'il en coûte

Poser les jalons
Et toutes les premières pierres
Construire du neuf et du beau
Balayer les matin d'hiver

Faire briller tes yeux
T'émerveiller de tout
Chasser les nuages
Le soleil brillera mieux si tout est partage

Vivre au delà des préjugés
Chaque matin est un été
Une occasion nouvelle pour chanter
La beauté des paysages

Quand tout te semblera triste
Un peu de couleur,
moins de sérieux
Grimper sur les arbres pour voir la vie en bleue

Oublier les peines et serrer dans tes bras
Ceux qui te sont si chers et que tu aimes ici bas
T'accrocher à eux pour ne plus tomber de haut
Ne rien attendre de ceux qui jadis t'ont tourné le dos

Franchir les montagnes,
Prendre les bons sentiers
Car chaque erreur te permet d'avancer
Et de modifier ton parcours

Apprendre de tous les autres
Et si tu perds ta route
Malgré tous ces repères
Pense à jamais que je resterais près de toi

Frédéric COTTA (poete-fada)
16 février 2010
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