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blog des textes de poete fada (frederic cotta)

31 juil. 2005

Désirs sur la plage

Parti sur la plage, nous n'étions pas seuls
J'en mourrai d'envie mais nous n'étions pas seuls
T'es venue dans mes bras mais nous n'étions pas seuls
Garder le contrôle, car nous n'étions pas seuls

ça me dévorait en dedans
ça me dévorait dehors
Je n'avais qu'une envie
Te garder dans mes bras toute la nuit

Ca me rendait fou
Mais j'était terriblement bien
Te tenir dans mes bras
Et ne penser à rien

Le désir était fort
Et ta peau était douce
Il m'a fallu toute mon inconscience
Pour refuser d'aller plus loin

Je veux prendre mon temps
J'ai envie de te découvrir
J'ai envie de réver de toi
Avant de te conquérir

J'ai envie de me parfaire
Pour mieux te contenter
J'ai le désir de te plaire
Pour avoir plus que des baisers volés

Frédéric COTTA (poete-fada)
31 juillet 2005
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.

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1 juil. 2005

Je t'ai cherchée

J'ai cherché tellement loin
J'ai cherché tellement longtemps
J'ai séché mes larmes au soleil
Et même sous la pluie battante
Je t'ai cherchée

Tu restes la seule chose qui manque à mon bonheur
Tu restes l'inaccessible étoile par qui tout arrive
Tu es celle qui manque, ma drogue, mon vice
Sans toi, je ne suis rien
Mais survivre pourtant il me faut bien.

Alors je survis et chaque jour est un jour sans joie
Alors je survis et chaque jour je pense plus encore à toi
Toi qui me manque, toi qui te cache loin de moi
Si seulement je savais où chercher
Si seulement je n'avais pas tant peur de me tromper

Mon coeur se vide de son sang
Et plus encore, il se durcit au moindre plaisir
Le désir cesse peu à peu mais j'ai toujours cette envie
Envie de vivre quelque chose de profond, de sincère
Envie de te retrouver dans mes bras qui te serrent

J'ai cherché tellement loin
J'ai cherché tellement longtemps
Aurais-je un peu de bonheur un jour ?
C'est cet espoir qui me fait me lever le matin
Là où d'autres préfèrent se laisser couler peu à peu

Frédéric COTTA (poete-fada)
01 juillet 2005
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.

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Johann (18 ans)

18 ans, c'est si peu et pourtant
Je te vois mon petit frère aller en grandissant
J'aimerai te donner la bonne route
Mais je suis un piètre navigateur.

18 ans, c'est si peu et pourtant
Voici quelques années, nous te promenions dans ton landeau
Tu découvrais la vie, le soleil, la mer
et je découvrais la joie d'être le frère.

18 ans, c'est si peu et pourtant
J'ai mis quelques années à comprendre le bonheur que j'ai
De t'avoir comme frère
Pas toujours évident surtout avec l'éloignement

Chaque fois qu'un orage s'abbatra sur ta tête
Chaque fois que tu voudras verser des larmes
Chaque fois que tu ne sauras pas vers qui te tourner
N'hésites pas une seconde, appelles moi.

En ce jour mémorable où tu fêtes ton anniversaire
Et à quelques jour de ce que j'espère être un triomphe scolaire
Profites de la vie, mon petit frère.
N'écoutes pas les blasés et vis au présent

Frédéric COTTA (poete-fada)
01 juillet 2005
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