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blog des textes de poete fada (frederic cotta)

21 sept. 2001

Téléphoner ?

Cela n'a pas de sens
Cet espoir auquel je me raccroche
Et au plus j'y pense
Je le trouve dérisoire
ça fait plus de 10 ans
que je n'ai pu t'apercevoir

Cette passion d'adolescent
Que j'étais le seul à ressentir
Enfouie au plus profond
Je ne puis plus la contenir

Dois je prendre ce téléphone
Et appeler à ta maison ?
Je sais que tu n'as personne
Mais est ce là une raison ?

Et je sens venir en moi
Ce doux désespoir
Que j'éprouvais autrefois
Quand il se faisait tard

Quand je ne te voyais pas
Comment sfait il
Que cette tourmente, revienne à la charge
Sans prévenir

Si seulement j'avais eu
Le courage de t'attendre
De ne pas vouloir griller les étapes
Et d'essayer de te comprendre

Tu ne sais sans doute pas
Que j'ai bien changé
Changé en bien crois moi
Au niveau mentalité

Et c'est un peu grâce à toi
Même si tu l'as pas fait exprès
oh bébé, un peu grâce à toi
Même si tu l'as pas fait exprès

J'aimerai tant décrocher
Ce putain de téléphone
Oser enfin t'appeler
Pour plus que ton nom ne raisonne

Que j'oublie ton visage à jamais
Ou qu'enfin nous nous réveillions
Que toutes ces années passées
Brûlent en un enfer de passion

(To Audrey N)

Frédéric COTTA (poete-fada)
21 septembre 2001
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7 sept. 2001

Donne moi un enfant

Voilà que la vie t'arrache à moi
Au delà de ma tristesse, au delà de ta perte
Je ne sais même pas où tu vas
Si tu y seras bien, mon amour au loin
Sans moi

Je ne sais si je pourrai survivre à toi
Notre amour si fort que seul la mort vient briser
Et pourtant, il manque une piece au puzzle
Que je voulais constituer avec toi

Donne moi un enfant
Que je pourrai aimer plus fort
Donne moi un enfant et fais de moi
Un être fort

Je voudrai combler le nous par ce petit être
Vers qui je pourrai reporter
Cet amour que j'ai pour toi
En étant papa, quel beau mot que celui là

Je sèche mes larmes, je sais que tu vas partir
Jpeux rien y faire ou rien y dire
Pour te retenir
Suis je seul à pleurer ?

Donne moi un enfant
Que je protègerai comme l'or
Ses faiblesses je les comblerai encore
Si tu dois t'en aller au loin sans m'emmener
N'emporte pas l'amour que j'ai pour toi
et que je veux garder

Donne moi un enfant,
Donne moi un enfant
Petit être sage ou turbulent
Je l'accepterai comme un présent
Donne moi un enfant
Donne moi un enfant
(ad lib, mute)

Frédéric COTTA (poete-fada)
07 septembre 2001
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3 sept. 2001

Parler d'amour

Refrain :
Pouvons nous parler simplement
de cet amour qui existe
Pouvons nous nous dire simplement
Ces mots tendres

R

Nous nous sommes cherchés depuis longtemps
Mon amour t'appartenait
Lorsque tu m'as souris c'est en révant
Que je nous imaginais

Je n'osais pas dire un mot
Tu as pris les devants
Et finalement c'est en chantant
Que je t'ai pris dans mes bras

R

A la terrasse du café
Ou nous nous sommes rencontrés
Je n'osais pas imaginer
Que tu oserais me draguer

Nos regards se sont croisés
Et j'ai bredouillé ''bonjour''
Je n'osais pas bouger un doigt
Tel'ment j'étais timide

R

Mais tu as pris les devants
Et nous sommes ensembles à présent
Pour moi, rien ne sera jamais
comme avant

Frédéric COTTA (poete-fada)
03 septembre 2001
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Tout est si embrouillé dans ma tête

Tout est si embrouillé dans ma tête
Je ne sais pas où te trouver sur terre
Si seulement tu avais accepté
Les avances que je t'avais faites

Cette histoire remonte à longtemps
Et je me rends compte à présent
Que je me suis menti tout ce temps
Ou je m'étais enfuis

Entre temps biensur, j'ai grandi
J'ai tenté de vivre et fait de nouveaux amis
J'aimerai tant retrouver ta trace
et te parler, et te parler

Tout est si embrouillé dans ma tête
Je ne sais pas où te trouver sur terre
Si seulement tu avais accepté
Les avances que je t'avais faites

J'avais pourtant essayé d'oublier
Mais ton fantasme vient me hanter
Alors j'aimerai te parler
J'aimerai te parler

Je ne veux pas débouler dans ta vie
Et détruire tout ce que tu as construit
J'aimerai avoir eu un peu de temps
Pour que nous soyons amis vraiment

Je ne cherche plus l'amour
Puisque celui ci m'a conquis
Je veux juste prendre mon temps
Pour savoir qui tu es vraiment

Tout est si embrouillé dans ma tête
Je ne sais pas où te trouver sur terre
Si seulement tu avais accepté
Les avances que je t'avais faites

Frédéric COTTA (poete-fada)
03 septembre 2001
(audrey's back to my mind)
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