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blog des textes de poete fada (frederic cotta)

3 oct. 1992

captif

Un regard de toi et me voilà captivé.
Une parole de toi et me voilà capturé.
Tes yeux bleus, si purs, ressemblent au ciel.
Tes cheveux d'un blonds merveilleux, sont mon soleil.
T'illumines ma vie, t'illumines mon coeur
Tu es tellement belle que de bonheur j'en trésailles
Tu es mon soleil, pas ma gousse d'ail

Frédéric COTTA (poete-fada)
10/1992

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20 juin 1992

Céline -7

Lorsque tes cheveux blonds brillent au soleil,
Que ton parfum se répand depuis mon réveil
Je pense à ton corps qui bouge qui danse
Sous tous les accords de cette musique barbante
Je pense à ta bouche si douce, si belle
Je pense à nous, virgule, simples mortels
Lorsque tu regardes un autre garçon
J'entre dans une fureur, virgule, comme un lion
Lorsque tes cheveux blonds balancent sur ton corps
Que te parfum se répand sur nos corps
Je pense à nos corps qui bougent, qui dansent
Sur tous les accords d'une musique barbante
Oui je pense à nos corps qui bougent qui dansent,
Sur tous les accords d'une musique barbante

(pour céline)
Frédéric COTTA (poete-fada)
06/92

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19 juin 1992

Céline - 6

Une blonde aux cheveux doux, m'embrassa d'un tendre et long baiser.
Elle était belle et jeune, c'était ma princesse de beauté.
Je venais enfin de lui déclarer ma flamme.
Et enfin, je pouvais la prendre dans mes bras.
Ses yeux d'un marron si clair qu'ils en étaient presques verts.
Je t'aime céline. Peu importe ce que les autres diront de nous.
Te souviens tu la première fois qu'on s'est vu en classe toi et moi ?
Instinctivement je me suis mis à tes côtés.
Te souviens tu de nos baisers si tendres sous l'arbre fruitier.
Nos premières nuits où l'on sortait s'amuser ensembles.
On s'embrassait tendrement en rentrant à la maison.

Frédéric COTTA (poete-fada)
1992

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17 juin 1992

Céline - 5

Voilà 5 ans que je n'écrivais plus.
La dernière fois, c'était pour la beauté de la nature.
Aujourd'hui, c'est pour ta beauté.
J'ai essayé de faire passer mes sentiments par des poemes.
Mais voilà, tu ne comprends pas que j'ai besoin de toi.
Pourtant j'ai essayé de t'embobiner, de te plaire, je me suis même bagarré.
J'ai tout essayé pour être à ta hauteur.
Mais mes meilleures atouts se sont écroulés.
Comme un temple délabré.
Mes illusions se sont écrasées,
comme un oiseau qu'on vient de tuer.
Depuis que tu m'as dit ''non'' définitif et sans appel.
Crois moi, je me serai bien passé d'un tel réveil.
Tous les soirs, dans la nuit ton ''non'' revient en Dolby.
Ton sourrire hante mon sommeil tant et si bien que je me réveille...
Je me réveille en pleine nuit.
Pour pleurer mon amour déchu.

Frédéric COTTA (poete-fada)
1992

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11 juin 1992

Céline - 4

A quoi bon mentir, tu as tu le présentir que j'étais amoureux fou.
Pourquoi diable me mentir jouer une mascarade ?
Comme j'ai pu le comprendre je te laisse pas de glasse.
Et ce n'est pas en embrassant un autre qui voudrait prendre ma place,
que tu me rendras complètement givré.
Je sais bien qu'au fond, tu m'aimes.
Mais je ne comprends pas, pourquoi tu ne le montres pas

Frédéric COTTA (poete-fada)
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7 juin 1992

Céline -2

Le temps s'écoule
Les heures passent
Et voilà qu'elle recommence
À regarder sa montre
En a t elle assez de me voir ?
Nul ne le sait
Et d'insister sur chaque passant
Comme s'il venait la sauver

Frédéric COTTA (poete-fada)
1992

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6 juin 1992

Céline - 3

Quand je te vois
Je tombe à la renverse
Les cigalles cessent de chanter
La pluie cesse de tomber
Comme une image arrétée
Le monde pourrait s'écrouler
Mon coeur t'appartiendrait à jamais
Si un ''oui'' tu me disais
Le temps cesserai de s'écouler
>Mon coeur vibrerai de nouveau
Mes yeux se troublent devant les tiens
Je t'aime mais tu ne voies rien

Frédéric COTTA (poete-fada)
1992

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2 juin 1992

Céline -1

Lorsque tu me regardes,
L'amour s'éveille en moi
Lorsque je te regarde
Je sens la haine en toi
Pourtant je m'accroche
Et mon amour chaque jour se renforce

Lorsque je pense à toi
L'histoire d'un amant revient à moi :
Attendant son amour
Au coin d'une cour
Elle de son balcon
N'y prétait guère attention
Durant 100 jours il la pria
Le 101 elle daigna
Mais il n'était plus là.
Si sur ma flamme tu ne veille pas
Alors mon amour s'éteindra
Car tes sentiments profonds
Se lisent sur tes yeux
Alors dépèche toi.

Frédéric COTTA (poete-fada)

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