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blog des textes de poete fada (frederic cotta)

28 nov. 2001

I believe

I believe in a true love
And I supose you can be the onliest
That could give me this

I believe that we could remain
Just if I could ask it
Once and again

I don't have many to offer
But the whole
I would offer

I know I am not a super-man
but you once believed
In such a man ?

I believe that we could be
In a certain way
Such happy

If only
If only
I dare ask you to

May it be possible
You also
want me too ?

I believe in such a love
It does all depend
If I dare ask the same from you

Frédéric COTTA (poete-fada)
28 novembre 2001
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.

Creative Commons License

11 nov. 2001

Rap Sensuel

Sensuelle, je la voyais se dandiner en Well,
se rapprochant dangereusement de mes orteils.
Elle voulait simplement se montrer au naturel,
sans se prendre la tête,
sans chercher conquête puisque j'étais déjà dans ses filets.
Elle ne voulait pas que nous fassions l'amour ni même pervertir son âme.
Elle joue avec mes vices sans pour autant toucher au tournevis.
Et depuis tout à l'heure qu'elle me tourne autours,
je la dévisage et je rève de lui faire la cour.
Mais qui est elle, que me veut elle,
est-elle là pour me faire pardonner toutes celles que j'ai pu rater ?
Et là je me réveille, en sursaut en sueur,
je sens battre mon coeur à plus de 400 mille à l'heure.
Ce n'était qu'un rève et je suis seul dans la pièce.
Sacrée imagination toujours en train de fredonner la même stupide chanson.
je me réveille rapidement et cours après mon métro et là,
stupeur je vois mon rève dans le métro.
Cette fille avec qui j'ai passé toute la nuit,
sans qu'elle ait passé une minute hors de son lit.
Mais qui est elle, je ne la connais pas.
Serait-ce réellement la première fois que je la vois ?
Comment a t elle pu se retrouver dans un rève si carabiné
sans qu'il me soit possible de me rapeller d'elle ?
Est il possible que les gens se croisent et ne se rencontre pas ?
Tant de choses arrivent chaque jour, nous n'y pretons pas garde
et ne faisons pas de place à l'amour.
Que faire pour remedier à cela,
les bombes tombent autours de nous sans qu'on y prete attention.
Attention, danger de mort,
le sol est miné comme est miné mon coeur à l'idée que de tels
actes de terreur puissent avoir lieu sans censeur.
Mais revenons à cette fille qui persécute mes pensées et paralyse ma vie.
En fait je la vois chaque matin sans jamais la voir parceque
je suis dans le coltard et que je suis souvent en retard.
Je vous le disais, on ne fait pas de place à l'amour.

Frédéric COTTA (poete-fada)
07 novembre 2001
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.

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Le doc penserait que je suis fou

Chaque fois que j'ouvre les yeux, je pense à toi.
Toi qui es si loin de moi, tout en étant si proche.
Tu habites la ville à côté mais je ne peux t'apeller.
Trop de temps a passé et nous n'avons jamais été plus qu'amis.
Pourquoi cela changerait il avec le temps,
ourquoi chacune des pensées ou paroles que nous avons eu auraient changées.
Ma position n'a pas changé puisque je passerai volontier du temps avec toi.
j'en ai assez de chercher dans une autre tout ce que je n'ai jamais pu avoir de toi.
Je ne sais comment l'exprimer correctement, puisque je suis presque vierge à ce niveau là.
mais comment te faire comprendre ce que je ressens, ce sentiment qui ne m'a abandonné que pour
revenir plus fort encore ?
Je n'ai peut être jamais pris la peine de te voir en face à face tant tu m'obsède.
Aujourd'hui encore, la preuve,
je ne suis toujours pas capable de t'effacer de ma mémoire bien que j'essaie fortement.
Je ne suis pas à même non plus de prendre mon téléphone pour t'apeller ...
Que faire ? si je ne peux t'avoir et je sais que c'est le cas,
pourquoi est ce que tu reviens encore et encore dans ma tête.
A chacune de mes ruptures, et même lorsque je suis avec quelqu'un je pense à toi.
Je crois que si un doc m'écoutait, il dirait que je suis cinglé.
Même si je pense que je ne le suis pas.
En fait, je refuse de voir mon amour partir en fumé sur un simple claquement de doigts.
Je refuse de voir que tu ne veux pas de moi aujourd'hui ni jamais.
L'écrire me fait du mal et pourtant je suis incapable de penser ce que j'écris à l'instant.
Qu'as tu bien pu faire pour que je garde une telle marque de toi ?
tu n'es pas la première ni même la dernière à m'avoir fait souffrir,
à avoir rejetté mon amour inconditionnel.
Que faire ? décrocher ce téléphone et t'apeller pour te dire tout ça ?
Cela te ferait fuir à nouveau.
Faire comme si j'étais une vieille connaissance qui voudrait avoir de tes nouvelles ?
même à moi cela me parait trop suspect.
Que faire ?
Ta seule présence, j'en suis sur, me rassurerait,
même si elle n'était que brève.
Je voudrai juste te prendre dans mes bras et que cet instant dure une éternité.
Comment réussir à te revoir et à discuter cartes sur table avec toi ?
Et si je me trompais, que tu n'attendais que ça ?
Oh, ma tête va finir par exploser tellement je pense à toi.
Oui, vraiment, un doc penserait que je suis fou.
Un doc penserait que je suis fou, un fou, un vrai fou.
Que faire ?

Frédéric COTTA (poete-fada)
09 novembre 2001
(le doc penserait que je suis fou ... et je suis pas loin de le penser aussi)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.

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