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blog des textes de poete fada (frederic cotta)

26 janv. 2006

Pourquoi je pars ?

Tes appels incéssants, comme si tu n'avais pas confiance
En quelqu'un qui te donnait la preuve de sa fidélité
Savoir où, avec qui, ce que je faisais
Cette belle prison où j'avais tout ce que je voulais

J'ai tenté de me convaincre
J'ai essayé de te comprendre
Mais cette sensation d'être prisonnier de moi-même
Et aucune raison à mon emprisonnement

Tu m'as tant donné et j'ai tant accepté
J'ai voulu te permettre une énième chance
Et, de soupçons infondés en jalousée perfide
Tu as détruit la moindre parcelle de patience

Je t'aurais donné le monde
Car je me sais redevable
De cet amour aveugle
Incensé, si parfait et fidèle

J'aurais aimé finir notre histoire autrement
Je ne t'en ai peut être pas laissé le temps
Oui, une fois, j'ai été un beau salop
Mais je t'ai plaqué en y mettant les formes

Plus que tout, je sais à quel point ça fait mal
J'ai ménagé les effets
J'ai pris sur moi pour ne pas retomber
Dans tes bras accueillants

Je tenais à ce que tu saches
Que j'ai été bien avec toi
Et qu'aujourd'hui encore, je ne regrette pas
Même la fin écrite dans tes larmes

Frédéric COTTA (poete-fada)
26 janvier 2006
Isabelle, quelques années de plus, quelques histoires, peu de victoires ...
Encore désolé pour cette nuit où je t'ai quitté ...
I'll Never forget you girl !
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17 janv. 2006

Souvenirs de toi

Je viens de passer un week-end avec toi
La neige pure, le chocolat
Chaud que l'on partage dans le bar
J'ai aimé nos franches rigolades
Nos boules de neige et les cascades
Et puis la chaleur d'un bon feu de bois
Tu m'as donné des raisons d'y croire
J'ai même pas pû sortir du plumard
La couette et ton corps m'apellaient
Une soupe quelques baisers plus tards
Echangés à la belle étoile
Malgré le froid nos corps se réchauffaient
Une galère avec ta voiture
Beaucoup de rires, de cris de joie
Quelques mures dans une tartes
Voici les souvenirs que j'emporte de toi

Frédéric COTTA (poete-fada)
17 janvier 2006

Pour toi, Aurélie ...
cela semblait si bien parti.
Quelques fois je regrette de trop réflechir ...
Bonne chance pour ton avenir.
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13 janv. 2006

Notre dispute

Je ne sais pas d'où c'est parti
Cette dispute qui t'éloigne de moi
Je voulais être gentil
Peut être un peu trop pour toi
Mais je ne peux me résigner à vraiment t'abandonner
Oublier cette histoire entre nous, c'est mettre mon coeur à genoux

Je ne sais si c'est de ma faute
Encore que je crois que ça vient de toi
J'ai peut être voulu y croire beaucoup trop vite
Mais toi tu n'en es pas là
Je voulais te faire l'amour en te découvrant chaque jour
J'ai eu du mal à m'en remettre mais notre dispute est dans ma tête

Je voudrais revenir mais je ne sais pas comment
Te seras tu préparée à me revoir
Est ce que tu m'attends
Je voudrais pouvoir y croire
Mettre une touche d'espoir
Mais entre nous tout semble mort
Et j'ai pourtant envie d'y croire encore

Je vais peut être bien t'apeller
et ptêtre bien qu'tu vas pas décrocher
A moins qu'un autre fiancé jaloux ne reçoive encore mon bouquet
Je voudrais te parler de nous
Essayer de recoller les bouts
Mais sans toi je ne peux rien faire
C'est notre amour qui est par terre

Si je me trompe alors pourquoi
Pourquoi t'as voulu de moi
Je crois pas que c'est uniquement
Parceque moi j'ai voulu de toi
Je voudrais que tu y croies
Mais je ne sais pas si tu croies en toi
Je n'ai pas envie de perde du temps
Au détriment des sentiments.


Frédéric COTTA (poete-fada)
13 janvier 2006
(pour Claire)
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4 janv. 2006

Tu es entrée dans ma lumière

Cela semblait être un jour comme un autre
Un de ceux qui passent sans que l'on prête attention
Rien de spécial prévu à l'horizon
Ni sortie avec les potes, ni dansing, ni déraison

Puis tu es entrée dans ma lumière
Tu as obstrué mon champs de vision
Je ne pouvais rien voir derrière
Tant tu prenais tout mon horizon

J'ai commencé à te regarder
Et j'ai apprécié ce que j'ai vu
Manifestement tu ne m'avais pas remarqué
Et je profitais de ce moment inatendu

Je me suis attardé sur tes formes
Elles me convenaient bien
Je me suis attardé un moment
Avant de me décider à aller de l'avant


Frédéric COTTA (poete-fada)
04 janvier 2006
(pour Aurélie)
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