Elle me rend dingue
Alors qu'elle ne fait rien pour
J'ai envie de crier mon amour
Pourtant je reste
Elle me rend dingue
Quand elle fait sa petite moue
Qu'elle regarde dans le vague
Pourtant je reste
Elle me rend dingue
Quand elle se met son parfum
J'ai envie de la prendre à son jeu
Pourtant je reste
Elle me rend dingue
Je ne sais quel est le pire
La perdre ou la retenir
Pourtant je reste
Elle me rend dingue
Depuis son premier sourire
Qui cache ses malheurs
Pourtant je reste
Elle me rend dingue
Je voudrais qu'elle parvienne
A voir plus qu'un simple poème
Pour que je reste
Elle me rend dingue
Je ne sais jamais que faire
Pour la garder et lui plaire
Pourtant je reste
Elle me rend dingue
De simples mots lachés
Pour me faire reculer
Pourtant je veux rester
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
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blog des textes de poete fada (frederic cotta)
29 déc. 2011
22 déc. 2011
Désir de toi
J'ai tellement envie de te serrer contre moi
J'ai le désir d'entendre ta voix
Dire ces mots que tu ne me m'écris pas
Je souhaiterai pouvoir voler jusqu'à tes rêves
Capturer tes moindres pensées
Savoir ce qui te freine à te laisser aller
Je voudrais te plaquer au mur
Prendre tes silences pour des oui
Murmurer au creux de tes oreilles
Déposer sur tes hanches mes mains
Sentir la chaleur de nos corps si près
Retenir mon souffle avant de t'embrasser
J'aimerais que tu te blottisses contre moi
Laisser ces sensations nous envahir
lâcher prise et brûler notre désir
J'ai le désir d'entendre ta voix
Dire ces mots que tu ne me m'écris pas
Je souhaiterai pouvoir voler jusqu'à tes rêves
Capturer tes moindres pensées
Savoir ce qui te freine à te laisser aller
Je voudrais te plaquer au mur
Prendre tes silences pour des oui
Murmurer au creux de tes oreilles
Déposer sur tes hanches mes mains
Sentir la chaleur de nos corps si près
Retenir mon souffle avant de t'embrasser
J'aimerais que tu te blottisses contre moi
Laisser ces sensations nous envahir
lâcher prise et brûler notre désir
2 déc. 2011
Donne moi une chance
Donne moi une chance
De te serrer contre moi
J'ai envie de ta peau
Je veux me sentir vivant près de toi
Donne moi une chance
Malgré que je ne la mérite probablement pas
Je me sens bien quand tu es là
J'ai le désir de toi
Donne moi une chance
Même si ton coeur est blessé
Même si tu es blasée
Arrête de tout contrôler
Donne moi une chance
Pourquoi décrypter mes pensées
Et si ça dure qu'une nuit
Essayons de la prolonger
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
02/12/2011
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De te serrer contre moi
J'ai envie de ta peau
Je veux me sentir vivant près de toi
Donne moi une chance
Malgré que je ne la mérite probablement pas
Je me sens bien quand tu es là
J'ai le désir de toi
Donne moi une chance
Même si ton coeur est blessé
Même si tu es blasée
Arrête de tout contrôler
Donne moi une chance
Pourquoi décrypter mes pensées
Et si ça dure qu'une nuit
Essayons de la prolonger
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
02/12/2011
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16 oct. 2011
Comment leur dire
Et maintenant qu'elle est partie
Qui vais-je dénomer mémé ?
Elle a rejoint son mari
Mais elle nous a laissés
Les guères larvées se réveillent
C'est le monde sacré de la Famille qui s'effondre
Elle ètait notre ciment
Il ne subsiste rien de son petit monde
Son appartement repris
Ces petits-enfants avaient déjà oubliés
Toutes les heures heureuses passées
Que nous étions bien chez mémé
Qui suis-je pour les juger ?
Pourtant ils n'étaient pas loin
Ils avaient une mémé
Abandonnée dans un coin
Jamais là pour son anniversaire
Rarement présent aux quotidien de sa vie
Même pas pour son quatre-vingt neuviéme
Elle qui pour eux avait tout admit
Le pardon se demande
Auprès de qui le pourrait-ils ?
Peut-être de franches paroles
Soigneraient les blessures meurtries
Chacun est destiné à partir
À chaque jour nous devons retenir
Qu'il vaut mieux passer un instant avec ceux qu'on aime
plutôt que de pleurer une fois que c'est fini
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
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Qui vais-je dénomer mémé ?
Elle a rejoint son mari
Mais elle nous a laissés
Les guères larvées se réveillent
C'est le monde sacré de la Famille qui s'effondre
Elle ètait notre ciment
Il ne subsiste rien de son petit monde
Son appartement repris
Ces petits-enfants avaient déjà oubliés
Toutes les heures heureuses passées
Que nous étions bien chez mémé
Qui suis-je pour les juger ?
Pourtant ils n'étaient pas loin
Ils avaient une mémé
Abandonnée dans un coin
Jamais là pour son anniversaire
Rarement présent aux quotidien de sa vie
Même pas pour son quatre-vingt neuviéme
Elle qui pour eux avait tout admit
Le pardon se demande
Auprès de qui le pourrait-ils ?
Peut-être de franches paroles
Soigneraient les blessures meurtries
Chacun est destiné à partir
À chaque jour nous devons retenir
Qu'il vaut mieux passer un instant avec ceux qu'on aime
plutôt que de pleurer une fois que c'est fini
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
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12 oct. 2011
Bien longtemps
Voilà bien longtemps qu'il n'y a plus personne
Je reprends toute la place dans le lit
chaque nuit est monotone
Refusant à loisirs mes envies
Je voudrais la serrer si fort
Que jamais elle n'ait envie de partir
lui faire oublier chagrins, regrets, remords
Et qu'enfin à elle je sois uni
Je n'ai plus envie de fuir
Je veux combattre ce néant qui m'entoure
Je veux apaiser mes mal-êtres
Et reprendre confiance en la vie
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
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Toi
Je ne pense qu'a te plaquer contre un mur
T'embrasser fougueusement,
Carresser tes cheveux,
Arracher nos vêtements.
Je te désire si ardemment !
J'en ai passé des nuits à échafauder des plans
Cherchant à te conquérir sans risquer une réponse cinglante
J'ai essayé de te comprendre, de me mettre à ta place
Mais rien n'y fait, je ne peux lutter contre ces sentiments
J'ai aussi le souhait de nuits éclairées par la lune
De quelques discutions satisfaisantes
D'une chambre près des dunes
De jours entiers dans mes bras t'enlaçant.
Pourtant je ne puis espérer d'avantage
Même si je le voudrais tant
Je me dois de rester sage
J'en ai fait le serment
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
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T'embrasser fougueusement,
Carresser tes cheveux,
Arracher nos vêtements.
Je te désire si ardemment !
J'en ai passé des nuits à échafauder des plans
Cherchant à te conquérir sans risquer une réponse cinglante
J'ai essayé de te comprendre, de me mettre à ta place
Mais rien n'y fait, je ne peux lutter contre ces sentiments
J'ai aussi le souhait de nuits éclairées par la lune
De quelques discutions satisfaisantes
D'une chambre près des dunes
De jours entiers dans mes bras t'enlaçant.
Pourtant je ne puis espérer d'avantage
Même si je le voudrais tant
Je me dois de rester sage
J'en ai fait le serment
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
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Give another try
I dunno how, I dunno when or if you'll find me on your way
Maybe you'll save me or I'll save you from hell
I dunno if it's possible but I want to give another try
May I find the special one that will make my heart stronger
I want to realise that in life there's nothing better
To be loved and to love in return
I've been hurted so many times
And I made mistakes too
I wanna give another try not to get fooled again
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
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Maybe you'll save me or I'll save you from hell
I dunno if it's possible but I want to give another try
May I find the special one that will make my heart stronger
I want to realise that in life there's nothing better
To be loved and to love in return
Don't wanna cheat, don't wanna lie
Just some true days where we both could find
Such pleasure in our minds
And I made mistakes too
I wanna give another try not to get fooled again
Wanna love her the way she need it
Wanna smash this sadness away
Wanna make us happy but where could I find her
Won't you help me because I need her
Give me a clue where is she
Help me get out of this madness world
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
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21 août 2011
encore
L'odeur de sa peau sur ma peauLe goût de son corps dans ma boucheChaque fois qu'elle me touche je la veux encore.
Passent les heures et les semaines Nos corps à corps la nuit se déchaînent Chaque fois c'est mieux encore Je la veux si fort !
Tout nous oppose et cela m'attire Mais comme la mer qui se retire Toutes nos nuits rythmées par nos accords Je la veux si fort
Et meme après 20 années à user Nos âmes, nos corps seront fatigués Même après une vie et des tempêtes Je la voudrais encore
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Passent les heures et les semaines Nos corps à corps la nuit se déchaînent Chaque fois c'est mieux encore Je la veux si fort !
Tout nous oppose et cela m'attire Mais comme la mer qui se retire Toutes nos nuits rythmées par nos accords Je la veux si fort
Et meme après 20 années à user Nos âmes, nos corps seront fatigués Même après une vie et des tempêtes Je la voudrais encore
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31 juil. 2011
béguin d'été
Sur un plaid à la plage
Je cherchais à me faire aimer
Mais tu es restée de marbre
Aucunement intéressée
Sur un plaid à la plage
Mes yeux dans le noir te scrutaient
Cherchant le moindre écart
Qui pourrait t'amener à changer
Sur un plaid à la plage
Mes illusions se sont effondrées
Ce n'était qu'un mirage
Rien de plus qu'un béguin d'été
Sur un plaid à la plage
Mes yeux dans le noir te dévoraient
Mais tu n'es qu'un mirage
Une femme que je ne n'aurais jamais
Sur un plaid à la plage
J'ai compris que je ne t'aurais jamais
Et tandis qu'on quittait la plage
J'oubliais ce béguin d'été.
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
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Je cherchais à me faire aimer
Mais tu es restée de marbre
Aucunement intéressée
Sur un plaid à la plage
Mes yeux dans le noir te scrutaient
Cherchant le moindre écart
Qui pourrait t'amener à changer
Sur un plaid à la plage
Mes illusions se sont effondrées
Ce n'était qu'un mirage
Rien de plus qu'un béguin d'été
Sur un plaid à la plage
Mes yeux dans le noir te dévoraient
Mais tu n'es qu'un mirage
Une femme que je ne n'aurais jamais
Sur un plaid à la plage
J'ai compris que je ne t'aurais jamais
Et tandis qu'on quittait la plage
J'oubliais ce béguin d'été.
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
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27 juil. 2011
Essayons
Ça vient et puis repars
comme une ardente brûlure
Je te vois, si près si loin
inaccessible démon de luxure
J'ai tant envie de toi
Partager quelques nuits, mm plus
Et toi si proche de moi
Sans aucune démesure
Tu joues au chat
Non que cela me déplaise
Pourtant, je sais deja
Qu'un mur entre nous se dresse
Mais cela ne me dèrange pas
J'ai trop besoin de caresses
Et chaque nuit loin de toi
Tous les démons se dressent
Accourent et volent
Misant sur mes envies de cabrioles
Le chemin est long
pour tout le monde
Dans cet univers papier glacé
Et toi,comne toutes les autres
Tu sais que chaque seconde qui passe est perdue
À jamais, le temps s'écoule
Tu as besoin d'être serrée fort
Dans des bras qui t'emportent
Qui te font basculer qui te transportent
Loin du papier glacé
Je connais tes rêves allez viens je t'emmène
Laissons brûler le temps
Pauvres fous que nous sommes
Claquons le peu d'argent
Qui reste sur nos comptes
Vivons sur le néant et jouons tant et plus
Si ça doit péter demain, ni regret ni de pognon pour nos tombes
Alors ... es tu prête ?
Et même si c'est pour trois semaines
N'as tu pas envie de craquer l'allumette
Faut vivre avant notre mort
J'ai tellement à offrir
Si tu ne me donne pas tort
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comme une ardente brûlure
Je te vois, si près si loin
inaccessible démon de luxure
J'ai tant envie de toi
Partager quelques nuits, mm plus
Et toi si proche de moi
Sans aucune démesure
Tu joues au chat
Non que cela me déplaise
Pourtant, je sais deja
Qu'un mur entre nous se dresse
Mais cela ne me dèrange pas
J'ai trop besoin de caresses
Et chaque nuit loin de toi
Tous les démons se dressent
Accourent et volent
Misant sur mes envies de cabrioles
Le chemin est long
pour tout le monde
Dans cet univers papier glacé
Et toi,comne toutes les autres
Tu sais que chaque seconde qui passe est perdue
À jamais, le temps s'écoule
Tu as besoin d'être serrée fort
Dans des bras qui t'emportent
Qui te font basculer qui te transportent
Loin du papier glacé
Je connais tes rêves allez viens je t'emmène
Laissons brûler le temps
Pauvres fous que nous sommes
Claquons le peu d'argent
Qui reste sur nos comptes
Vivons sur le néant et jouons tant et plus
Si ça doit péter demain, ni regret ni de pognon pour nos tombes
Alors ... es tu prête ?
Et même si c'est pour trois semaines
N'as tu pas envie de craquer l'allumette
Faut vivre avant notre mort
J'ai tellement à offrir
Si tu ne me donne pas tort
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20 juin 2011
Parti trop tôt
Voilà que j'apprends que tu n'es plus parmis nous
J'ai reçu ces appels comme des coups de massue
Et remontent les souvenirs d'un temps disparu.
Cette classe de troisième où nous nous sommes connus
Tour sainte, le collège où je n'aurais jamais mis les pieds
Si le collège public n'avait pas été aussi dégradé.
Et parmis les souvenirs je retiens nos éclats de rire pourtant si lointains
Quand tu t'es attaché à une chaise durant un cours d'instruction civique
Que j'ai fait l'avocat, plaidé ta cause avant de me faire expulser par une prof neuneu et peu crédible.
Je me souviens aussi de la farine et des oeufs
Dispensés avec joie sur cette prof neuneu
Qu'est-ce qu'on s'était fait engueuler par M. Bara !
Le concert de michael jackson au parc des princes
Notre virée à dysneyland paris
Bizarrement je retiens surtout ce qui nous a construits.
Je me souviens de cet été que tu as passé chez moi
Réfugié politique dans ta vie à ce moment là
Tout comme tu es venu, un soir de Mars 2008 réconforter ton ami
Qui pourra maintenant me comprendre comme je te comprenais
Inséparables à l'époque et depuis non séparés
Que la vie va être difficile sans toi à mes côtés
Mais Je ne pleure pas trop des tristesses de la vie
Ou du moins, je les mets entre parenthèses
Car pour moi tu étais plus qu'un ami, tu étais comme mon frère
Pour David Bonnet
Décédé
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J'ai reçu ces appels comme des coups de massue
Et remontent les souvenirs d'un temps disparu.
Cette classe de troisième où nous nous sommes connus
Tour sainte, le collège où je n'aurais jamais mis les pieds
Si le collège public n'avait pas été aussi dégradé.
Et parmis les souvenirs je retiens nos éclats de rire pourtant si lointains
Quand tu t'es attaché à une chaise durant un cours d'instruction civique
Que j'ai fait l'avocat, plaidé ta cause avant de me faire expulser par une prof neuneu et peu crédible.
Je me souviens aussi de la farine et des oeufs
Dispensés avec joie sur cette prof neuneu
Qu'est-ce qu'on s'était fait engueuler par M. Bara !
Le concert de michael jackson au parc des princes
Notre virée à dysneyland paris
Bizarrement je retiens surtout ce qui nous a construits.
Je me souviens de cet été que tu as passé chez moi
Réfugié politique dans ta vie à ce moment là
Tout comme tu es venu, un soir de Mars 2008 réconforter ton ami
Qui pourra maintenant me comprendre comme je te comprenais
Inséparables à l'époque et depuis non séparés
Que la vie va être difficile sans toi à mes côtés
Mais Je ne pleure pas trop des tristesses de la vie
Ou du moins, je les mets entre parenthèses
Car pour moi tu étais plus qu'un ami, tu étais comme mon frère
Pour David Bonnet
Décédé
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14 mars 2011
Confession
Je t'ai aimé tant que j'ai pu puis je t'ai dit de partir
Je t'ai repoussé quand tu as voulu revenir
J'ai mis du temps à comprendre ce qui m'attache à toi
Cette sensation d'en avoir pas fini avec toi
Pourtant tu as tout fait pour que je revienne à toi
Et maintenant que je suis loin dans ce pays où je ne m'attendais pas
à me dire que tu me manques; même si parfois je me souviens
De ce qui m'a fait te dire de t'en aller au matin
Je regrette tes mots tendres et cet amour qui était notre
C'était sans doute pas parfait mais nous étions heureux
A force de faire tout par moi même, j'en ai oublié l'essentiel
J'ai oublié que dans un couple il fallait être deux.
Je voudrais tout faire pour que tu oublies combien je suis con parfois
Têtu comme un âne, c'est sans doute mon plus petit défaut
Et j'oublie certainement tous ceux qui font que je t'ai perdu à présent.
Serait-ce seulement possible ? peut-on tout recommencer ?
Je nous ai fait tellement de mal que je ne peux même pas me pardonner
J'ai beau chercher quelles sont mes chances; probablement zéro.
Donc je libère la place pour le prochain héros
Je voudrais qu'il te rende heureuse comme je n'ai pas su le faire
Et tant pis pour nos rêves tu n'as qu'à les mettre à la poubelle
J'ai merdé à fond mais comme je l'ai voulu
Chacun reprend sa route là où nous l'avions interrompue.
à Laurence
14 mars 2011
(écrit en sortant de l'avion, à Melbourne mais ce texte ne sera pas publié avant mon retour de l'Australie)
Frédéric COTTA (Poete-Fada) Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Je t'ai repoussé quand tu as voulu revenir
J'ai mis du temps à comprendre ce qui m'attache à toi
Cette sensation d'en avoir pas fini avec toi
Pourtant tu as tout fait pour que je revienne à toi
Et maintenant que je suis loin dans ce pays où je ne m'attendais pas
à me dire que tu me manques; même si parfois je me souviens
De ce qui m'a fait te dire de t'en aller au matin
Je regrette tes mots tendres et cet amour qui était notre
C'était sans doute pas parfait mais nous étions heureux
A force de faire tout par moi même, j'en ai oublié l'essentiel
J'ai oublié que dans un couple il fallait être deux.
Je voudrais tout faire pour que tu oublies combien je suis con parfois
Têtu comme un âne, c'est sans doute mon plus petit défaut
Et j'oublie certainement tous ceux qui font que je t'ai perdu à présent.
Serait-ce seulement possible ? peut-on tout recommencer ?
Je nous ai fait tellement de mal que je ne peux même pas me pardonner
J'ai beau chercher quelles sont mes chances; probablement zéro.
Donc je libère la place pour le prochain héros
Je voudrais qu'il te rende heureuse comme je n'ai pas su le faire
Et tant pis pour nos rêves tu n'as qu'à les mettre à la poubelle
J'ai merdé à fond mais comme je l'ai voulu
Chacun reprend sa route là où nous l'avions interrompue.
à Laurence
14 mars 2011
(écrit en sortant de l'avion, à Melbourne mais ce texte ne sera pas publié avant mon retour de l'Australie)
Frédéric COTTA (Poete-Fada) Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
22 févr. 2011
Encore quelques heures à attendre
Encore quelques heures à attendre
Et cette envie qui me reprends
Encore quelques heures à attendre
Mais pour moi le temps est toujours trop long
Encore envie de ta peau
Même si ça brûle et que j'ai chaud
Encore envie de ta voix
Mais tes baisers me laissent sans voix
Encore quelques heures à attendre
Quand tu seras là restes avec moi
Encore quelques heures à attendre
Viens m'aimer, je t'attends
22/02/2011
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Et cette envie qui me reprends
Encore quelques heures à attendre
Mais pour moi le temps est toujours trop long
Encore envie de ta peau
Même si ça brûle et que j'ai chaud
Encore envie de ta voix
Mais tes baisers me laissent sans voix
Encore quelques heures à attendre
Quand tu seras là restes avec moi
Encore quelques heures à attendre
Viens m'aimer, je t'attends
22/02/2011
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19 janv. 2011
Renouveau
Tes mots sont un tel coup porté à mon coeur
Sms assassin, porteur de mon malheur
Voilà que déjà tu fuis notre bonheur
J'aurais aimé avoir plus d'heures
Pleurer fait perdre du temps
Et hurler à rien ne sert
J'aurais aimé te montrer les coins perdus
Où seuls les amoureux vont
Où seuls nous aurions été amants
J'aurais aimé te garder captive
Mais tes mots sont autant de pointes acérées
Qui expriment ton désir de partir
Tes pensées te trahissent
Et perlent au delà des mots
Je te perds mais j'esquisse
De ton départ un renouveau
Frédéric COTTA (Poete-Fada) Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Sms assassin, porteur de mon malheur
Voilà que déjà tu fuis notre bonheur
J'aurais aimé avoir plus d'heures
Pleurer fait perdre du temps
Et hurler à rien ne sert
J'aurais aimé te montrer les coins perdus
Où seuls les amoureux vont
Où seuls nous aurions été amants
J'aurais aimé te garder captive
Mais tes mots sont autant de pointes acérées
Qui expriment ton désir de partir
Tes pensées te trahissent
Et perlent au delà des mots
Je te perds mais j'esquisse
De ton départ un renouveau
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