Chaque lundi matin, c'est la même rengaine
Il faut se lever et vite perdre les habitudes du week-end
Oublié le temps des grasses matinées
Le patron attend, les dossiers vont s'accumuler
Un petit cri vient de la chambre voisine
Soudain tout autour le monde s'anime
Je me lève doucement pour ne pas la réveiller
Et je ferme la porte pour pouvoir profiter
Profiter d'un instant avec ce petit bonhomme
Tout sourire et content de ce que la vie donne
Je le dépose doucement sur la table à langer
La nuit a été prolixe, il faut le changer
Là, je me rends compte pourquoi je me lève
Pour ce petit bonhomme, sa mère et nos rêves
Un jour l'école et les premiers alphabets
Demain encore il faudra se lever.
Frédéric COTTA (poete-fada)
17 novembre 2008
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1 commentaire:
sympa le texte du lundi matin!moi je hais le lundi tout court^^
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