Je voudrais qu'une nuit par un ciel étoilé
Nous montions sur le toît pour rester enlacés
Te dire je t'aime dans la lumière de la lune
Et après quelques soupirs te savoir comblée
Je voudrais prendre tes clefs de ta voiture
Pour te les rendre au petit matin, juste après
T'obliger à m'aimer enfin pour de vrai
Te faire l'amour comme on ne l'a jamais fait
Je voudrais te serrer dans mes bras
Te plaquer contre un mur, te serrer fort les mains
Embrasser ta bouche et te caresser dans l'obscur
sentir tes frissons lorsque je parcours ton corps
Je voudrais que notre nuit ne s'achève jamais
M'ennivrer de ton parfum et t'aimer à en mourir
Eteindre la lumière et te faire l'amour
Être en toi pour te faire frémir
Je voudrais qu'au petit matin
Tu soies encore à mes côtés
Qu'ensemble nous prenions le pti dejeuner
Et qu'ensemble, nous soyons heureux
Je voudrais que les soirs d'après tu reviennes
Sans que j'ai besoin de prendre les clés
Qu'on se retrouve autours d'un bon diner
Et qu'on y retourne sans que rien nous retiennes
Frédéric COTTA (poete-fada)
19 nov 2006
Ce document est protégé par un contrat Creative Commons :
blog des textes de poete fada (frederic cotta)
19 nov. 2006
11 oct. 2006
when you came
when you came, I was alone in the darkness of my life
But you wanted me to be your sun and I needed to cope from my broken heart
I wanted to fill your demands and to prove myself I was able to change
I needed a change
When You came you rocked my feelings I was upside down by a look from you
I wanted us to shake our bodies on this melody I had heard in the past
There weren't any clouds into my sky I should have realized
That all I wanted into my life was all of you
When you came, things changed into my life
It wasn't black or grey but appreared colours
Colours are the way to make up wounds
But no answer came to my inside fears
When you came, I was jumping as a fool, trying to find love anywhere from anyone
I was alone since a couple of months, seeking for a true story
You put your arms around my neck and gave me the most tender kiss I ever had
your tongue was so hot and wet I wished this moment would never end
When you came, I thought God sent me an angel to collapse my darkness
You were so bright, so full of strength, so much harmless
I never had such a feeling for anyone else
I wanted to keep you by my side until I definitively rest
Frédéric COTTA (poete-fada)
11 octobre 2006
Ce document est protégé par un contrat Creative Commons :
But you wanted me to be your sun and I needed to cope from my broken heart
I wanted to fill your demands and to prove myself I was able to change
I needed a change
When You came you rocked my feelings I was upside down by a look from you
I wanted us to shake our bodies on this melody I had heard in the past
There weren't any clouds into my sky I should have realized
That all I wanted into my life was all of you
When you came, things changed into my life
It wasn't black or grey but appreared colours
Colours are the way to make up wounds
But no answer came to my inside fears
When you came, I was jumping as a fool, trying to find love anywhere from anyone
I was alone since a couple of months, seeking for a true story
You put your arms around my neck and gave me the most tender kiss I ever had
your tongue was so hot and wet I wished this moment would never end
When you came, I thought God sent me an angel to collapse my darkness
You were so bright, so full of strength, so much harmless
I never had such a feeling for anyone else
I wanted to keep you by my side until I definitively rest
Frédéric COTTA (poete-fada)
11 octobre 2006
Ce document est protégé par un contrat Creative Commons :
10 oct. 2006
Au revoir, Alfred
Finalement c'est vrai jn'avais aucune chance
tout me rapelle ta vie, ta mort, ma déchéance
Comme un ange qui est tombé soudain du ciel
Je me suis rendu compte que t'étais pas éternel
J'avais tant à te dire mais tu n'es même pas là
Et que de souvenirs je partages avec toi
J'avais tant à écrire mes mots ne suffisent pas
Et tant d'amour à donner mais tu n'es plus là
Finalement c'est vrai jn'avais aucune chance
Et ce cerceuil recouvert d'un drapeau me tance
Ce drapeau rouge sang pour qui tu t'es battu
Ce sont des idées, des bases à ma politique
Il n'est plus là le pépé de mon enfance
Il ne reste que mon flow de mots et de larmes
Je voulais tant essayer de te ressembler
Tu m'as donné tant sans jamais rien demander
Finalement c'est vrai jn'avais aucune chance
D'échapper à la tristesse de ton absence
Cette journée gravée dans ma conscience
Et la famille regrouppée autours de toi
Partageant les larmes comme on partageait les joies
C'est vrai qu'avec les ptits j'ai pris le relais
Ils ont telment besoin d'un grand pour les guider
Mais j'en sais pas autant que ske tu en savais
Finalement c'est vrai jn'avais aucune chance
Et ces discours ont mis les rancoeurs de côté
Si seulement à ça t'avais pû assister
Tous ces gens qui étaient là et qui t'aimaient
J'aurais voulu avoir quelque chose à leur dire
Mais ma voix est restée muette et j'ai failli
Au devoir de mémoire d'un petit fils
Mais je pouvais tout juste pas défaillir
J'aurais voulu le garder encore un peu avec moi
Mais mon papi est parti si loin de moi
Et ces roses blanches que j'ai déposées
Toutes ces larmes que j'navais jamais versées
Et dans le chant patriotique que t'aimais
J'avais le souvenir d'un glorieux passé
A resister à l'ennemi, défendre l'opprimé
De toi mon papi je sais dont j'ai été la fierté
A toi, Alfred
In my heart forever
Je t'aime
Frédéric COTTA (poete-fada)
09 octobre 2006
Ce document est protégé par un contrat Creative Commons :
tout me rapelle ta vie, ta mort, ma déchéance
Comme un ange qui est tombé soudain du ciel
Je me suis rendu compte que t'étais pas éternel
J'avais tant à te dire mais tu n'es même pas là
Et que de souvenirs je partages avec toi
J'avais tant à écrire mes mots ne suffisent pas
Et tant d'amour à donner mais tu n'es plus là
Finalement c'est vrai jn'avais aucune chance
Et ce cerceuil recouvert d'un drapeau me tance
Ce drapeau rouge sang pour qui tu t'es battu
Ce sont des idées, des bases à ma politique
Il n'est plus là le pépé de mon enfance
Il ne reste que mon flow de mots et de larmes
Je voulais tant essayer de te ressembler
Tu m'as donné tant sans jamais rien demander
Finalement c'est vrai jn'avais aucune chance
D'échapper à la tristesse de ton absence
Cette journée gravée dans ma conscience
Et la famille regrouppée autours de toi
Partageant les larmes comme on partageait les joies
C'est vrai qu'avec les ptits j'ai pris le relais
Ils ont telment besoin d'un grand pour les guider
Mais j'en sais pas autant que ske tu en savais
Finalement c'est vrai jn'avais aucune chance
Et ces discours ont mis les rancoeurs de côté
Si seulement à ça t'avais pû assister
Tous ces gens qui étaient là et qui t'aimaient
J'aurais voulu avoir quelque chose à leur dire
Mais ma voix est restée muette et j'ai failli
Au devoir de mémoire d'un petit fils
Mais je pouvais tout juste pas défaillir
J'aurais voulu le garder encore un peu avec moi
Mais mon papi est parti si loin de moi
Et ces roses blanches que j'ai déposées
Toutes ces larmes que j'navais jamais versées
Et dans le chant patriotique que t'aimais
J'avais le souvenir d'un glorieux passé
A resister à l'ennemi, défendre l'opprimé
De toi mon papi je sais dont j'ai été la fierté
A toi, Alfred
In my heart forever
Je t'aime
Frédéric COTTA (poete-fada)
09 octobre 2006
Ce document est protégé par un contrat Creative Commons :
7 oct. 2006
T trop jeune
T trop jeune pour découvrir que la vie fait mal parfois
Alors j'essaye de te couvrir, de t'éviter le mal mais
Il faut bien que tu grandisses, que la vie te lisse
Comme un meuble se patine avec le temps tu sais
La vie est parfois rose et parfois dure
mais à chaque fois que tu auras l'envie dpleurer
Tu trouveras mon épaule et mes conseils même si parfois jsuis lourd, je sais
T trop jeune pour découvrir que la mort rode partout
Un accident emporte les gens qu'on aime et ça rend fou
On se retrouve comme seul au monde à parler avec les murs
Les autres comprennent pas, mais moi je sais ce que tu as
Mais tant que j'aurais un soufle de vie dans mon coeur
Je serai là pour t'aider à surmonter tes douleurs
Je viendrai à chaque fois essuyer tes pleurs
T'es trop jeune pour découvrir ce qui fait mal au fond de moi
Ce que la vie m'a fait et ce qu'elle ne me donne pas
Mais si mes expériences te permettent d'avancer dans la vie
Alors biensur jt'en parlerai en évitant de faire un mélo de ma vie
J'ai tant à dire et tant à faire pour que tu soies heureux
Je voudrais t'éviter les pièges dans lesquels jme suis perdu
Faudra bien que tu supportes que je me mèle de tout
(à Rudy, Leslie, Ludo)
Frédéric COTTA (poete-fada)
07 octobre 2006
Alors j'essaye de te couvrir, de t'éviter le mal mais
Il faut bien que tu grandisses, que la vie te lisse
Comme un meuble se patine avec le temps tu sais
La vie est parfois rose et parfois dure
mais à chaque fois que tu auras l'envie dpleurer
Tu trouveras mon épaule et mes conseils même si parfois jsuis lourd, je sais
T trop jeune pour découvrir que la mort rode partout
Un accident emporte les gens qu'on aime et ça rend fou
On se retrouve comme seul au monde à parler avec les murs
Les autres comprennent pas, mais moi je sais ce que tu as
Mais tant que j'aurais un soufle de vie dans mon coeur
Je serai là pour t'aider à surmonter tes douleurs
Je viendrai à chaque fois essuyer tes pleurs
T'es trop jeune pour découvrir ce qui fait mal au fond de moi
Ce que la vie m'a fait et ce qu'elle ne me donne pas
Mais si mes expériences te permettent d'avancer dans la vie
Alors biensur jt'en parlerai en évitant de faire un mélo de ma vie
J'ai tant à dire et tant à faire pour que tu soies heureux
Je voudrais t'éviter les pièges dans lesquels jme suis perdu
Faudra bien que tu supportes que je me mèle de tout
(à Rudy, Leslie, Ludo)
Frédéric COTTA (poete-fada)
07 octobre 2006
8 sept. 2006
ya des jours
Ya des jours comme ça le téléphone sonne pas
Et même si tu voulais il te laisse crever là
Ya des jours comme ça où même toi tu ne veux pas
Te lever et combattre qui et surtout pourquoi
Ya des jours comme ça où tout te semble futile
Où l'amour et la mort te semblent bien inutiles
Ya des jours comme ça où tu rèverais de dormir
De rester dans ton lit à jamais pour pouvoir fuir
Ya des jours comme ça où les sourrires te manquent
Où tu voudrais bien sortir mais t'as la forme
Ya des jours comme ça où tu tires une de ces gueules
Mais t'as pas envie de vouloir rester seul
Ya des jours comme ça tu donnerai un bras
Pour avoir quelques minutes de bonheur
Ya des jours comme ça il faut que ça sorte
Il faut que tu hurles mais tes cris tout le monde s'en moque
Frédéric COTTA (poete-fada)
08/09/2006
Et même si tu voulais il te laisse crever là
Ya des jours comme ça où même toi tu ne veux pas
Te lever et combattre qui et surtout pourquoi
Ya des jours comme ça où tout te semble futile
Où l'amour et la mort te semblent bien inutiles
Ya des jours comme ça où tu rèverais de dormir
De rester dans ton lit à jamais pour pouvoir fuir
Ya des jours comme ça où les sourrires te manquent
Où tu voudrais bien sortir mais t'as la forme
Ya des jours comme ça où tu tires une de ces gueules
Mais t'as pas envie de vouloir rester seul
Ya des jours comme ça tu donnerai un bras
Pour avoir quelques minutes de bonheur
Ya des jours comme ça il faut que ça sorte
Il faut que tu hurles mais tes cris tout le monde s'en moque
Frédéric COTTA (poete-fada)
08/09/2006
16 août 2006
Si tu étais là
Si tu étais là,
je danserai sur les tables
Je te ferai l'amour sur le sable
Et nous serions amoureux
Si tu étais là,
Je m'ennivrerai de ton corps
J'essayerai d'être ton trésor
Et j'en voudrais encore
Si tu étais là,
J'enverrai le monde au Diable
Et je m'essuyerai les pieds
Sur leurs stupides préjugés
Si tu étais là,
Chaque jour serait une fête
Et nous chanterions à tue tête
Cet amour que nous avons au fond de nos êtres
Si tu étais là,
Je déclamerai mon amour dans la rue
Je voudrais courrir après toi
Et dans un champs de blé tomber près de toi
Si tu étais là,
Je passerai chaque minute à me demander
Pourquoi tu m'as choisi parmis tant d'autres
Je passerai chaque minute à t'aimer
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 Aout 2006
je danserai sur les tables
Je te ferai l'amour sur le sable
Et nous serions amoureux
Si tu étais là,
Je m'ennivrerai de ton corps
J'essayerai d'être ton trésor
Et j'en voudrais encore
Si tu étais là,
J'enverrai le monde au Diable
Et je m'essuyerai les pieds
Sur leurs stupides préjugés
Si tu étais là,
Chaque jour serait une fête
Et nous chanterions à tue tête
Cet amour que nous avons au fond de nos êtres
Si tu étais là,
Je déclamerai mon amour dans la rue
Je voudrais courrir après toi
Et dans un champs de blé tomber près de toi
Si tu étais là,
Je passerai chaque minute à me demander
Pourquoi tu m'as choisi parmis tant d'autres
Je passerai chaque minute à t'aimer
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 Aout 2006
7 août 2006
16
Cela me semble hier
Que tes parents te ramenaient
Que partout tu courrais
A quatre pattes sur le sol mouillé
Cela me semble hier
Et le jour d'après te voilà une femme
De petits rendez-vous en amoureux transis
J'en rirais s'ils ne te serraient pas d'aussi près.
Cela me semble hier
Et pourtant les soirées où tu traînes
C'est de l'alcool, des hommes, des problèmes
Qu'un petit coeur commence à cerner à peine
Cela me semble hier
Que tu riais à mes blagues idiotes
Que tu prenais ton pti dej avec tes quenottes
Fronçant les sourcils en découvrant les goûts de la vie
Cela me semble hier
Et que je pouvais à loisir te regarder grandir
Faire semblant de te gronder puis d'un seul coup sourire
A ta mine désolée de me faire ainsi rugir
Cela me semble hier
Quand tu prenais ma main pour traverser la route
Et je voudrais qu'aujourd'hui tu n'aies aucun doute
Que quand tu en as besoin, ma main est toujours près de toi
Cela me semble hier
Et le jour d'après, c'est 16 années écoulées
C'est des rires, des pleurs, quelques fessées
Et un cousin au grand coeur qui t'aime tu le sais
Frédéric COTTA (poete-fada)
21 juillet 2006
(à tes 16 ans, ma puce)
Que tes parents te ramenaient
Que partout tu courrais
A quatre pattes sur le sol mouillé
Cela me semble hier
Et le jour d'après te voilà une femme
De petits rendez-vous en amoureux transis
J'en rirais s'ils ne te serraient pas d'aussi près.
Cela me semble hier
Et pourtant les soirées où tu traînes
C'est de l'alcool, des hommes, des problèmes
Qu'un petit coeur commence à cerner à peine
Cela me semble hier
Que tu riais à mes blagues idiotes
Que tu prenais ton pti dej avec tes quenottes
Fronçant les sourcils en découvrant les goûts de la vie
Cela me semble hier
Et que je pouvais à loisir te regarder grandir
Faire semblant de te gronder puis d'un seul coup sourire
A ta mine désolée de me faire ainsi rugir
Cela me semble hier
Quand tu prenais ma main pour traverser la route
Et je voudrais qu'aujourd'hui tu n'aies aucun doute
Que quand tu en as besoin, ma main est toujours près de toi
Cela me semble hier
Et le jour d'après, c'est 16 années écoulées
C'est des rires, des pleurs, quelques fessées
Et un cousin au grand coeur qui t'aime tu le sais
Frédéric COTTA (poete-fada)
21 juillet 2006
(à tes 16 ans, ma puce)
29 juil. 2006
J'ai besoin de lumière
J'ai besoin de lumière
De rires et de cris de joie
J'ai besoin de la douceur d'une peau
Que je serrerai contre moi
Pour faire fuir l'obscurité
Qui déjà s'empare de moi
J'ai besoin de vivre avec intensité
Pour oublier tous les tracas
Quand le quotidien devient routine
Qu'il n'y a plus de plaisir
Quand l'amour se meurt je suis victime
Et n'ai plus aucun désir
Je voudrais de la lumière
Pour sortir des ténèbres
J'ai tant besoin de chaleur
Pour oublier mes peines
Je voudrais que l'on m'aime
Et pouvoir m'en rendre compte
Je voudrais des cris de bonheur
Pour échapper aux froideurs
C'est l'été qui est ma saison
Mais voici que tout se gâte
De la grêle à l'horizon
Et je dépose les armes
Assez de combats et de coups échangés
Je voudrais pouvoir vivre et en profiter
Frédéric COTTA (poete-fada)
29 juillet 2006
De rires et de cris de joie
J'ai besoin de la douceur d'une peau
Que je serrerai contre moi
Pour faire fuir l'obscurité
Qui déjà s'empare de moi
J'ai besoin de vivre avec intensité
Pour oublier tous les tracas
Quand le quotidien devient routine
Qu'il n'y a plus de plaisir
Quand l'amour se meurt je suis victime
Et n'ai plus aucun désir
Je voudrais de la lumière
Pour sortir des ténèbres
J'ai tant besoin de chaleur
Pour oublier mes peines
Je voudrais que l'on m'aime
Et pouvoir m'en rendre compte
Je voudrais des cris de bonheur
Pour échapper aux froideurs
C'est l'été qui est ma saison
Mais voici que tout se gâte
De la grêle à l'horizon
Et je dépose les armes
Assez de combats et de coups échangés
Je voudrais pouvoir vivre et en profiter
Frédéric COTTA (poete-fada)
29 juillet 2006
19 juil. 2006
where (hi myself)
Hi myself
On any time I call you on the phone you know that I need to talk to someone
thats when I'm going deep into my mind and I dunno howto make my ideas clearer
This time again I call you on the phone, in my mind 'cause we both know there is no-one,
I'm wondering to find someone to give all this love inside of me
I'm wondering to share my feelings, my desire and my melodies
Who knows where I could find you, who could help me in this way too
On any time I call you on the phone you know my head is bleading,
needing someone to be friend, to be closer and to love her,
I can't focus my interest on somebody cause I am fool
And I know that I really need someone special
I think I will never find the way I am wishing her too much
Is there a place to see, a place to know, I dunno.
On any time I call you on the phone I wonder you have good news for me
To say that you've found the one, the purest I wonder have for me
Even if I know deep inside of me I'll never find the one I really want
Cause everybody's know I'm fool and loving another one deepeastly
The way I do love is really a fullish way. I can't stay more than a day without her
Is she somewhere close or far, I dunno 'cause I'm a fool
On any time I call you, you'd be there for me
Can you tell me where she is and what's she expects me
I'd like to give all this love and tenderness inside of me
It's a shame to waste my time once and once again with women that don't care about me
That don't know who I really am and don't understand my belief
Is she somewhere, have I lost her ...
Frédéric COTTA (poete-fada)
Juillet 2006
On any time I call you on the phone you know that I need to talk to someone
thats when I'm going deep into my mind and I dunno howto make my ideas clearer
This time again I call you on the phone, in my mind 'cause we both know there is no-one,
I'm wondering to find someone to give all this love inside of me
I'm wondering to share my feelings, my desire and my melodies
Who knows where I could find you, who could help me in this way too
On any time I call you on the phone you know my head is bleading,
needing someone to be friend, to be closer and to love her,
I can't focus my interest on somebody cause I am fool
And I know that I really need someone special
I think I will never find the way I am wishing her too much
Is there a place to see, a place to know, I dunno.
On any time I call you on the phone I wonder you have good news for me
To say that you've found the one, the purest I wonder have for me
Even if I know deep inside of me I'll never find the one I really want
Cause everybody's know I'm fool and loving another one deepeastly
The way I do love is really a fullish way. I can't stay more than a day without her
Is she somewhere close or far, I dunno 'cause I'm a fool
On any time I call you, you'd be there for me
Can you tell me where she is and what's she expects me
I'd like to give all this love and tenderness inside of me
It's a shame to waste my time once and once again with women that don't care about me
That don't know who I really am and don't understand my belief
Is she somewhere, have I lost her ...
Frédéric COTTA (poete-fada)
Juillet 2006
17 juil. 2006
tous mes mots ne servent à rien
Tous mes mots ne servent à rien
Je ne peux qualifier, je ronge mon frein
Je voudrais tant plonger dans un peu de bonheur
Mais rien ne vient égayer mon malheur
Le travail et ma vie, rien ne va comme je veux
Je voudrais tant sourire mais j'y arrive peu
Chaque pierre de mon temple ils arrachent peu à peu
Comme mon âme qui sanglotte est plongée dans le feu
Je voudrais retrouver le calme, être serein à nouveau
J'aimerai me ressourcer, trouver un second souffle et avancer
Il me reste tant de combats à mener
Et je ne sais vers quoi ou qui me tourner
Qu'il est long et pénible ce chemin
Et j'ai peu de patience en réserve
Tellement de gachis, de salive gaspillée
Qui me fera croire à nouveau que nous pouvons tout changer
Tous mes mots ne servent à rien
Je n'ai aucun contrôle sur ma vie, mon destin
Je n'ai que mes yeux pour pleurer de mon malheur
En songeant de loin à ceux qui souffrent plus que moi
Qu'il est long et pénible ce chemin
Et tant de fois je me sens seul à porter le fardeau
Je voudrais y croire, encore une fois
Et mettre de l'espoir en moi
Frédéric COTTA (poete-fada)
17 juillet 2006
Je ne peux qualifier, je ronge mon frein
Je voudrais tant plonger dans un peu de bonheur
Mais rien ne vient égayer mon malheur
Le travail et ma vie, rien ne va comme je veux
Je voudrais tant sourire mais j'y arrive peu
Chaque pierre de mon temple ils arrachent peu à peu
Comme mon âme qui sanglotte est plongée dans le feu
Je voudrais retrouver le calme, être serein à nouveau
J'aimerai me ressourcer, trouver un second souffle et avancer
Il me reste tant de combats à mener
Et je ne sais vers quoi ou qui me tourner
Qu'il est long et pénible ce chemin
Et j'ai peu de patience en réserve
Tellement de gachis, de salive gaspillée
Qui me fera croire à nouveau que nous pouvons tout changer
Tous mes mots ne servent à rien
Je n'ai aucun contrôle sur ma vie, mon destin
Je n'ai que mes yeux pour pleurer de mon malheur
En songeant de loin à ceux qui souffrent plus que moi
Qu'il est long et pénible ce chemin
Et tant de fois je me sens seul à porter le fardeau
Je voudrais y croire, encore une fois
Et mettre de l'espoir en moi
Frédéric COTTA (poete-fada)
17 juillet 2006
12 juil. 2006
Have you dreamed of me ?
It's been a long time we didn't talk together
And I am wondering what's in your mind
Is there a place for me, am I in your though
'Cause I feel that you remember me
And would like to get closer too
Have you dreamed of me in the past days
Have you dreamed of me talking to you again
Hace you dreamed of me trying to get back close to you
'Cause girl I feel that's what you'd like
Even if you don't say
I've been crying a lot since you left me
I've been trying to face my life again
would it be better if you could break me again
'Cause girl I don't want to suffer once and once again
Have you dreamed of me in the past days
Have you dreamed of me talking to you again
Hace you dreamed of me trying to get back close to you
'Cause girl I feel that's what you'd like
Even if you don't say
And if you want to suffer don't count me
'Cause I am not the guy that will make you cry
Have you dreamed of me singing again
Have you dreamed of me writing for you a letter
Have you dreamed of me taking you back into my arms
'Cause girl I feel that's what you'd like
Even if you don't say
It's been a long we met and talk
But don't know why I feel you're so close
It seems to me that you follow my perfume
And sometime I feel as you were right here
Have you dreamed of me in the past days
Have you dreamed of me talking to you again
Hace you dreamed of me trying to get back close to you
'Cause girl I feel that's what you'd like
Even if you don't say
Have you dreamed of me in the past days
Would you like me to come and stay
Touch you skin as I used to do
Make you feel as I want it to
Have you dreamed of me in the past days
Have you imagine my body close to yours
I have the feeling that's why I'm ringing at your door
Frédéric COTTA (poete-fada)
12 juillet 2006
And I am wondering what's in your mind
Is there a place for me, am I in your though
'Cause I feel that you remember me
And would like to get closer too
Have you dreamed of me in the past days
Have you dreamed of me talking to you again
Hace you dreamed of me trying to get back close to you
'Cause girl I feel that's what you'd like
Even if you don't say
I've been crying a lot since you left me
I've been trying to face my life again
would it be better if you could break me again
'Cause girl I don't want to suffer once and once again
Have you dreamed of me in the past days
Have you dreamed of me talking to you again
Hace you dreamed of me trying to get back close to you
'Cause girl I feel that's what you'd like
Even if you don't say
And if you want to suffer don't count me
'Cause I am not the guy that will make you cry
Have you dreamed of me singing again
Have you dreamed of me writing for you a letter
Have you dreamed of me taking you back into my arms
'Cause girl I feel that's what you'd like
Even if you don't say
It's been a long we met and talk
But don't know why I feel you're so close
It seems to me that you follow my perfume
And sometime I feel as you were right here
Have you dreamed of me in the past days
Have you dreamed of me talking to you again
Hace you dreamed of me trying to get back close to you
'Cause girl I feel that's what you'd like
Even if you don't say
Have you dreamed of me in the past days
Would you like me to come and stay
Touch you skin as I used to do
Make you feel as I want it to
Have you dreamed of me in the past days
Have you imagine my body close to yours
I have the feeling that's why I'm ringing at your door
Frédéric COTTA (poete-fada)
12 juillet 2006
11 juil. 2006
Sogno
Ogni giorni penso a te
Dove sei e cosa fai
Voglio dimenticarti
Ma questo non è facile
Ricordati quando eravamo insieme
Ci eravamo bene
Quando le mie mani rotolavano su tua pelle
Quando sapevo parlare a te
Ed nei miei sogni dove sei
Credo che tutto sarà possibile
Penso solo a farti amore
Penso solo a darti piaccere
Ricordati questi progetti
Che facevamo quando eravamo insieme
Un bambino, una casa nelle montagne
E restare insieme
Ricordati quando accarezzavo i tuoi capelli
questa frenesia tra noi
Quando respiravi sempre più rapidamente
Ed tuo cuore che oggi è tanto freddo
Pensare che tutto questo è finito
Non credo che posso imparare
dei miei errori
è un sogno dove lei non partirà mai
Frédéric COTTA (poete-fada)
11 juillet 2006
Dove sei e cosa fai
Voglio dimenticarti
Ma questo non è facile
Ricordati quando eravamo insieme
Ci eravamo bene
Quando le mie mani rotolavano su tua pelle
Quando sapevo parlare a te
Ed nei miei sogni dove sei
Credo che tutto sarà possibile
Penso solo a farti amore
Penso solo a darti piaccere
Ricordati questi progetti
Che facevamo quando eravamo insieme
Un bambino, una casa nelle montagne
E restare insieme
Ricordati quando accarezzavo i tuoi capelli
questa frenesia tra noi
Quando respiravi sempre più rapidamente
Ed tuo cuore che oggi è tanto freddo
Pensare che tutto questo è finito
Non credo che posso imparare
dei miei errori
è un sogno dove lei non partirà mai
Frédéric COTTA (poete-fada)
11 juillet 2006
2 juil. 2006
call me
Whatever is in your mind
I already know something goes wrong
I wonder having your trust enough
To get your comments and know how to help you
Whatever is in your mind
If ever you need some help
Do not hesitate
Call me
You've my phone and my keys
If ever you need a break
Do not hesitate
and call me
Frédéric COTTA (poete-fada)
02 juillet 2006
I already know something goes wrong
I wonder having your trust enough
To get your comments and know how to help you
Whatever is in your mind
If ever you need some help
Do not hesitate
Call me
You've my phone and my keys
If ever you need a break
Do not hesitate
and call me
Frédéric COTTA (poete-fada)
02 juillet 2006
29 juin 2006
I need some love
Everytime I close my eyes
I dream of someone
Who could make me feel so right
Might it be you ?
I need to take someone in my arms
I need to give the love I have inside my heart
I feel such pain when I see people around
been toghether while I'm alone
Everytime I close my eyes
I see the darkness of my life
Will there be someone for me
Is there a light still shining somewhere
I don't know how to say what's inside of me
when I follow a girl in the street
Is it you ? I don't know 'cause I don't ask you
My eyes are open and you can see what's in my soul
Everytime I close my eyes
I really need to take a hand, to have those feelings again
Those special situations when you are totaly mine like I am yours
I don't know if I'll have a opportunity to be happy again
Will I find someone else and will she open her heart
Is there one more chance to give my life a light
wherever you are, I am wondering
Why couldn't it be someone sharing some love for me
Everytime I close my eyes
I ask myself why I' am alone and sad
Why is my heart empty
Got so much tenderness to offer
I am a good cook
Even when I'm not okay, I listen to the others
Got so many other things to give
Why can't a girl see me as a pretender
Frédéric COTTA (poete-fada)
29 avril 2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
I dream of someone
Who could make me feel so right
Might it be you ?
I need to take someone in my arms
I need to give the love I have inside my heart
I feel such pain when I see people around
been toghether while I'm alone
Everytime I close my eyes
I see the darkness of my life
Will there be someone for me
Is there a light still shining somewhere
I don't know how to say what's inside of me
when I follow a girl in the street
Is it you ? I don't know 'cause I don't ask you
My eyes are open and you can see what's in my soul
Everytime I close my eyes
I really need to take a hand, to have those feelings again
Those special situations when you are totaly mine like I am yours
I don't know if I'll have a opportunity to be happy again
Will I find someone else and will she open her heart
Is there one more chance to give my life a light
wherever you are, I am wondering
Why couldn't it be someone sharing some love for me
Everytime I close my eyes
I ask myself why I' am alone and sad
Why is my heart empty
Got so much tenderness to offer
I am a good cook
Even when I'm not okay, I listen to the others
Got so many other things to give
Why can't a girl see me as a pretender
Frédéric COTTA (poete-fada)
29 avril 2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
24 juin 2006
Private Msg
When you'll get this you might be at your home
Listening to answer machine and hearing my voice
I hope there won't be no else with you
'Cause what I've to say it's my intimacy
And I would like people to respect our privacy
You have to understand me and not to cry
I met this special girl on the other night
You got me out of your home and I was a fool
I didn't say no to her demands
Please understand me I am a man
And when a woman is in demand
Who I am to say no when I think you put me out
Please understand me I am a man
I am not a superman and I am wondering what to do
to get you back next to me
Now I said it please take my phone number
Ya know you still have it near the phone table
Phone me now, I am waiting
We have to talk together
Even if you're going to sue me, whatever
I was a fool, I thought I had lost you
We have to argue once again and to make things clear
I just want you back in my life, how may I say it differently ?
Please understand me I am a man
And when a woman is in demand
Who I am to say no when I think you put me out
Please understand me I am a man
I am not a superman and I am wondering what to do
to get you back next to me
The answering machine is going to put me off
You have to call back, even if you don't want to
I am waiting for your call because I really like you
I want you back in my life, girl !
Please understand me I am a man
And when a woman is in demand
Who I am to say no when I think you put me out
Please understand me I am a man
I am not a superman and I am wondering what to do
to get you back next to me
Frédéric COTTA (poete-fada)
24 Juin 2006
Listening to answer machine and hearing my voice
I hope there won't be no else with you
'Cause what I've to say it's my intimacy
And I would like people to respect our privacy
You have to understand me and not to cry
I met this special girl on the other night
You got me out of your home and I was a fool
I didn't say no to her demands
Please understand me I am a man
And when a woman is in demand
Who I am to say no when I think you put me out
Please understand me I am a man
I am not a superman and I am wondering what to do
to get you back next to me
Now I said it please take my phone number
Ya know you still have it near the phone table
Phone me now, I am waiting
We have to talk together
Even if you're going to sue me, whatever
I was a fool, I thought I had lost you
We have to argue once again and to make things clear
I just want you back in my life, how may I say it differently ?
Please understand me I am a man
And when a woman is in demand
Who I am to say no when I think you put me out
Please understand me I am a man
I am not a superman and I am wondering what to do
to get you back next to me
The answering machine is going to put me off
You have to call back, even if you don't want to
I am waiting for your call because I really like you
I want you back in my life, girl !
Please understand me I am a man
And when a woman is in demand
Who I am to say no when I think you put me out
Please understand me I am a man
I am not a superman and I am wondering what to do
to get you back next to me
Frédéric COTTA (poete-fada)
24 Juin 2006
14 juin 2006
la vie passe
La vie passe à forte allure
Hier encore, je riais avec toi
Et j'apprend que tu es dans le comas
Dans une des chambres d'hôpital que je redoute tant
Hier encore, je cherchais ta présence
Je me souviens de 1996
Quand mon cousin te largait et moi je pansais tes plaies
En espérant depuis longtemps pouvoir t'approcher
La vie passe à forte allure
Et voilà que tu viens me rapeller combien elle est dure
Un mariage, m'a-t-on dit était prévu
Mais te voilà dans ton lit allongée
Hier encore, je rougissait en te parlant
De ce désir que j'avais envers toi et pourtant
Des années après je fais du surplace
Pendant que toi, peu à peu tu t'effaces
La vie passe à toute allure
Je me souviens des fêtes à balou sur la plage
Et je regrette d'avoir pas été là à temps
Comme si j'avais pû éviter ce qui arrive
Hier encore, mon passage express au lycée hôtellier
Nous étions dans la même classe
Et nous rions tous ensemble
Des cancans, des couples nouvellement formés
La vie passe à toute allure
Et te voilà si près de moi
Alors qu'il m'est impossible de t'approcher
Simples mesures de sécurité
Hier encore, je voulais te prendre dans mes bras
Et si je le pouvais, je n'hésiterai pas
Si un peu de moi pouvait te sortir de là
Quelques mots, un geste, je ne transigerai pas.
Frédéric COTTA (poete-fada)
14 mai 2006
Aline, mes pensées vont à toi, à ta famille et aux tiens ...
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Hier encore, je riais avec toi
Et j'apprend que tu es dans le comas
Dans une des chambres d'hôpital que je redoute tant
Hier encore, je cherchais ta présence
Je me souviens de 1996
Quand mon cousin te largait et moi je pansais tes plaies
En espérant depuis longtemps pouvoir t'approcher
La vie passe à forte allure
Et voilà que tu viens me rapeller combien elle est dure
Un mariage, m'a-t-on dit était prévu
Mais te voilà dans ton lit allongée
Hier encore, je rougissait en te parlant
De ce désir que j'avais envers toi et pourtant
Des années après je fais du surplace
Pendant que toi, peu à peu tu t'effaces
La vie passe à toute allure
Je me souviens des fêtes à balou sur la plage
Et je regrette d'avoir pas été là à temps
Comme si j'avais pû éviter ce qui arrive
Hier encore, mon passage express au lycée hôtellier
Nous étions dans la même classe
Et nous rions tous ensemble
Des cancans, des couples nouvellement formés
La vie passe à toute allure
Et te voilà si près de moi
Alors qu'il m'est impossible de t'approcher
Simples mesures de sécurité
Hier encore, je voulais te prendre dans mes bras
Et si je le pouvais, je n'hésiterai pas
Si un peu de moi pouvait te sortir de là
Quelques mots, un geste, je ne transigerai pas.
Frédéric COTTA (poete-fada)
14 mai 2006
Aline, mes pensées vont à toi, à ta famille et aux tiens ...
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Quand je te vois
Quand je te vois
Main dans la main
Avec cet autre
Qui te rend malheureuse
Quand je te vois
Pleurer chaque jour
Et rester avec lui
En donnant ton amour
Quand je le vois
Qu'il est moche cet homme là
Et dans son âme
Et dans sa voix
Quand je te vois
Partir à la dérive
Pour un homme
Qui ne te mérites pas
Quand je te vois
Je voudrais bien
Prendre ta main
La poser contre mon coeur
Quand je te vois
J'aimerai te dire tout bas
Ces mots qu'il ne dit pas
Et que tu n'attends pas de moi
Quand je te vois
Je voudrais bien
Prendre ta main
Et te chanter tout ça.
Frédéric COTTA (poete-fada)
14 Mai 2006
href="http://purl.org/dc/dcmitype/Text" rel="dc:type">Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Main dans la main
Avec cet autre
Qui te rend malheureuse
Quand je te vois
Pleurer chaque jour
Et rester avec lui
En donnant ton amour
Quand je le vois
Qu'il est moche cet homme là
Et dans son âme
Et dans sa voix
Quand je te vois
Partir à la dérive
Pour un homme
Qui ne te mérites pas
Quand je te vois
Je voudrais bien
Prendre ta main
La poser contre mon coeur
Quand je te vois
J'aimerai te dire tout bas
Ces mots qu'il ne dit pas
Et que tu n'attends pas de moi
Quand je te vois
Je voudrais bien
Prendre ta main
Et te chanter tout ça.
Frédéric COTTA (poete-fada)
14 Mai 2006
href="http://purl.org/dc/dcmitype/Text" rel="dc:type">Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
6 juin 2006
J'ai roulé
J'ai pas mal roulé ma bosse
De Marseille à Montréal
J'ai échappé à l'atroce
Sentiment de désespoir
J'ai souvent cherché quelqu'un
Pour me sentir moins seul
Pour aller de l'avant
J'aurais aimé te trouver près de moi
J'aurais embrassé tes causes
Et tu m'aurais fait Roi
Je voulais sentir ton parfum
Au réveil le matin
Le sentiment d'être aimé
Plus encore pour mes défauts
Et chaque jour plus fort
L'envie de te conserver près de moi
J'ai pas mal roulé ma bosse
De Marseille à Montréal
Je voulais échapper à l'attroce
Sentiment d'abandon
Je voulais pouvoir t'écrire
Des mots tendres et te serrer contre moi
Frédéric COTTA (poete-fada)
6 janvier 2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
De Marseille à Montréal
J'ai échappé à l'atroce
Sentiment de désespoir
J'ai souvent cherché quelqu'un
Pour me sentir moins seul
Pour aller de l'avant
J'aurais aimé te trouver près de moi
J'aurais embrassé tes causes
Et tu m'aurais fait Roi
Je voulais sentir ton parfum
Au réveil le matin
Le sentiment d'être aimé
Plus encore pour mes défauts
Et chaque jour plus fort
L'envie de te conserver près de moi
J'ai pas mal roulé ma bosse
De Marseille à Montréal
Je voulais échapper à l'attroce
Sentiment d'abandon
Je voulais pouvoir t'écrire
Des mots tendres et te serrer contre moi
Frédéric COTTA (poete-fada)
6 janvier 2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
18 avr. 2006
it's Never too late
It's never too late to be in love
Now I'm ready and time has come
Will you ever understand what's in my mind
I would like to pass with you the time of my life
These are the words I'd be so proud
To tell to the girl I'd be fond of
But there ain't nobody close to me now
Will I find someone available
These are the words I am burning
To tell someone who love me
Is there a girl near from here
That will see me at last
I's never too late to be in love
Now I'm ready and time has come
Will someone see ma as I truly am
Will someone love me as I truly am
There ain't no recipe for falling in love
Just some magic and strengh
There ain't no girl special to me
Until you'd be there and you take my hand
It's never too late to be in love
Now I'm ready and time has come
Frédéric COTTA (poete-fada)
18/04/2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Now I'm ready and time has come
Will you ever understand what's in my mind
I would like to pass with you the time of my life
These are the words I'd be so proud
To tell to the girl I'd be fond of
But there ain't nobody close to me now
Will I find someone available
These are the words I am burning
To tell someone who love me
Is there a girl near from here
That will see me at last
I's never too late to be in love
Now I'm ready and time has come
Will someone see ma as I truly am
Will someone love me as I truly am
There ain't no recipe for falling in love
Just some magic and strengh
There ain't no girl special to me
Until you'd be there and you take my hand
It's never too late to be in love
Now I'm ready and time has come
Frédéric COTTA (poete-fada)
18/04/2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
2h du mat'
2h du mat rien à faire jpe pas fermer les yeux
Encore une journée passée sans pouvoir être heureux
2h du mat et la nuit qui ne finit pas
Je voudrais tant pouvoir te serrer contre moi
2h du mat rien à faire jpe pas fermer les yeux
Toute ma journée se bouscule dans ma tête
Mais rien ne bascule dans tes yeux
Et ton coeur et ton corps me sont à jamais fermés
2h du mat et là je me demande
Si demain jvé enfin trouver mon bonheur
Celle avec qui échanger d'autres gestes tendres
Et qui saura me pardonner mes erreurs
2h du mat jsé plus quoi faire
Tuer le temps à cette heure ci c'est l'enfer
Passer du tchat où les gens semblent morts
A la télé où les présentateurs dorment encore.
Frédéric COTTA (poete-fada)
18/04/2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Encore une journée passée sans pouvoir être heureux
2h du mat et la nuit qui ne finit pas
Je voudrais tant pouvoir te serrer contre moi
2h du mat rien à faire jpe pas fermer les yeux
Toute ma journée se bouscule dans ma tête
Mais rien ne bascule dans tes yeux
Et ton coeur et ton corps me sont à jamais fermés
2h du mat et là je me demande
Si demain jvé enfin trouver mon bonheur
Celle avec qui échanger d'autres gestes tendres
Et qui saura me pardonner mes erreurs
2h du mat jsé plus quoi faire
Tuer le temps à cette heure ci c'est l'enfer
Passer du tchat où les gens semblent morts
A la télé où les présentateurs dorment encore.
Frédéric COTTA (poete-fada)
18/04/2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
8 avr. 2006
fin
C'est la fin de toi et moi, c'est out, oublie moi
Sont les derniers mots quelle t'a lancé à travers le téléphone
Il a suffit d'un autre dans ses bras
Pour oublier les mois passés, tout casser
Son mec, tu aurais peut être pas dû lui foncer dedans
Lui mettre une droite pour ce qu'il t'a fait souffrir
Et elle dans tout ça ?
Elle garde le beau rôle et le contrôle sur toi
Et elle te plaque et ton coeur s'écrase
Tu es K.O sur place, incapable de réagir
Il ne faut pas rester assis à ressasser
Leves toi et engage un autre combat
Mal coeur, mou dans l'âme
Sont les sensations de manque
Mais il faut oublier tes idées de revanche
Et regarder vers d'autres fleurs
Mais tu t'étrangles dans tes larmes
Elle a consumé ton âme
Il faut reconstruire les murs
Et penser à ton futur
Une autre viendra bientôt
Et te tendra ses bras
Demain dans le bain elle t'embrassera
Et là, tu oublieras le fraca
Frédéric COTTA (poete-fada)
08 avril 2006
Sont les derniers mots quelle t'a lancé à travers le téléphone
Il a suffit d'un autre dans ses bras
Pour oublier les mois passés, tout casser
Son mec, tu aurais peut être pas dû lui foncer dedans
Lui mettre une droite pour ce qu'il t'a fait souffrir
Et elle dans tout ça ?
Elle garde le beau rôle et le contrôle sur toi
Et elle te plaque et ton coeur s'écrase
Tu es K.O sur place, incapable de réagir
Il ne faut pas rester assis à ressasser
Leves toi et engage un autre combat
Mal coeur, mou dans l'âme
Sont les sensations de manque
Mais il faut oublier tes idées de revanche
Et regarder vers d'autres fleurs
Mais tu t'étrangles dans tes larmes
Elle a consumé ton âme
Il faut reconstruire les murs
Et penser à ton futur
Une autre viendra bientôt
Et te tendra ses bras
Demain dans le bain elle t'embrassera
Et là, tu oublieras le fraca
Frédéric COTTA (poete-fada)
08 avril 2006
4 avr. 2006
reste
Reste
Je voudrais me réveiller à tes côtés
ême si je ne peux toucher ta peau
Reste
Que je sente ton parfum sur l'oreiller
Ennivrer la pièce et mes sens
Reste
Que tu me tournes le dos si tu le souhaite
J'ai besoin de te sentir près de moi
Reste
Et même si demain je vais au boulot
On se lèvera un peu plus tôt
Je te ferai des tartines de beurre
Et ensemble on corrigera nos erreurs
Reste
Je voudrais carresser tes cheveux et tes seins
Mais je serai sage si tu y tiens
Reste
Le lit est trop grand et froid pour moi
J'ai besoin de ta présence, de ta chaleur
Reste
Je respire mal sans toi
Je suffoque sans toi
Alors reste
Même si je ne peux même plus te regarder dormir
Même si pour nous deux tu estimes qu'il n'y a pas d'avenir
Chaque jour gagné est un jour de moins sans toi
Frédéric COTTA (poete-fada)
04 avril 2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Je voudrais me réveiller à tes côtés
ême si je ne peux toucher ta peau
Reste
Que je sente ton parfum sur l'oreiller
Ennivrer la pièce et mes sens
Reste
Que tu me tournes le dos si tu le souhaite
J'ai besoin de te sentir près de moi
Reste
Et même si demain je vais au boulot
On se lèvera un peu plus tôt
Je te ferai des tartines de beurre
Et ensemble on corrigera nos erreurs
Reste
Je voudrais carresser tes cheveux et tes seins
Mais je serai sage si tu y tiens
Reste
Le lit est trop grand et froid pour moi
J'ai besoin de ta présence, de ta chaleur
Reste
Je respire mal sans toi
Je suffoque sans toi
Alors reste
Même si je ne peux même plus te regarder dormir
Même si pour nous deux tu estimes qu'il n'y a pas d'avenir
Chaque jour gagné est un jour de moins sans toi
Frédéric COTTA (poete-fada)
04 avril 2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
27 mars 2006
Notre nuit
Cette nuit que nous avons passée
Ne ressemblait à aucune autre
Je t'avais sous mon corps
Et tes doigts à portée des miens
J'ai dû attendre longtemps
Et je n'ai aucun regret
Cette nuit que nous avons passés
Restera à jamais gravée
La nuit que nous avons passée
Jamais je n'aurais espéré
Ressentir une telle émotion
Partir sans quitter la maison
Je voulais te convaincre de rester
Mais je me suis abstenu
Car j'ai bien remarqué
Qu'aucune promesse nous n'avons tenue
Ce matin tu es partie
Et peut être ce soir encore
J'aurais la chance de t'avoir près de moi
Pour profiter de ton corps encore une fois
La nuit que nous avons passée
Restera gravée dans mon coeur
J'aimerai qu'il y en ait beaucoup d'autres
Pour mieux encore appréhender notre avenir
Frédéric COTTA (poete-fada)
27/03/2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Ne ressemblait à aucune autre
Je t'avais sous mon corps
Et tes doigts à portée des miens
J'ai dû attendre longtemps
Et je n'ai aucun regret
Cette nuit que nous avons passés
Restera à jamais gravée
La nuit que nous avons passée
Jamais je n'aurais espéré
Ressentir une telle émotion
Partir sans quitter la maison
Je voulais te convaincre de rester
Mais je me suis abstenu
Car j'ai bien remarqué
Qu'aucune promesse nous n'avons tenue
Ce matin tu es partie
Et peut être ce soir encore
J'aurais la chance de t'avoir près de moi
Pour profiter de ton corps encore une fois
La nuit que nous avons passée
Restera gravée dans mon coeur
J'aimerai qu'il y en ait beaucoup d'autres
Pour mieux encore appréhender notre avenir
Frédéric COTTA (poete-fada)
27/03/2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
26 févr. 2006
J - 10
Dans quelques jours j'ai trente ans
Il me faut faire une pause
Faire le point
Et ce n'est pas brillant
Je suis entouré d'amour
D'amitiées indefectibles
Mais il me manque l'essentiel
Ce vide que je ne sais comment combler
J'ai cherché, j'ai perdu
J'ai courru après elle
Sans jamais vraiment trouver
Celle qui comblerait mon coeur insatisfait
Dans quelques jours j'ai trente ans
Cela sonne comme la fin d'une époque
C'est la fin de la vingtaine
Que je n'aurais pas vu passer
Et pourtant j'ai envie de chanter
J'ai envie de bouger, de danser
J'ai envie de me sentir vivre
Comme si je devais mourrir demain
La vie n'attend pas
Et chaque jour, je la fais patienter
Pas pour la peur de vieillir
Mais bien pour ne pas trépasser
Dans quelques jours j'ai trente ans
Le gâteau d'anniversaire, la fête
J'ai presqu'envie d'éclipser ces instants
Car mon coeur est froid dedans
Frédéric COTTA (poete-fada)
26 février 2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Il me faut faire une pause
Faire le point
Et ce n'est pas brillant
Je suis entouré d'amour
D'amitiées indefectibles
Mais il me manque l'essentiel
Ce vide que je ne sais comment combler
J'ai cherché, j'ai perdu
J'ai courru après elle
Sans jamais vraiment trouver
Celle qui comblerait mon coeur insatisfait
Dans quelques jours j'ai trente ans
Cela sonne comme la fin d'une époque
C'est la fin de la vingtaine
Que je n'aurais pas vu passer
Et pourtant j'ai envie de chanter
J'ai envie de bouger, de danser
J'ai envie de me sentir vivre
Comme si je devais mourrir demain
La vie n'attend pas
Et chaque jour, je la fais patienter
Pas pour la peur de vieillir
Mais bien pour ne pas trépasser
Dans quelques jours j'ai trente ans
Le gâteau d'anniversaire, la fête
J'ai presqu'envie d'éclipser ces instants
Car mon coeur est froid dedans
Frédéric COTTA (poete-fada)
26 février 2006
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
26 janv. 2006
Pourquoi je pars ?
Tes appels incéssants, comme si tu n'avais pas confiance
En quelqu'un qui te donnait la preuve de sa fidélité
Savoir où, avec qui, ce que je faisais
Cette belle prison où j'avais tout ce que je voulais
J'ai tenté de me convaincre
J'ai essayé de te comprendre
Mais cette sensation d'être prisonnier de moi-même
Et aucune raison à mon emprisonnement
Tu m'as tant donné et j'ai tant accepté
J'ai voulu te permettre une énième chance
Et, de soupçons infondés en jalousée perfide
Tu as détruit la moindre parcelle de patience
Je t'aurais donné le monde
Car je me sais redevable
De cet amour aveugle
Incensé, si parfait et fidèle
J'aurais aimé finir notre histoire autrement
Je ne t'en ai peut être pas laissé le temps
Oui, une fois, j'ai été un beau salop
Mais je t'ai plaqué en y mettant les formes
Plus que tout, je sais à quel point ça fait mal
J'ai ménagé les effets
J'ai pris sur moi pour ne pas retomber
Dans tes bras accueillants
Je tenais à ce que tu saches
Que j'ai été bien avec toi
Et qu'aujourd'hui encore, je ne regrette pas
Même la fin écrite dans tes larmes
Frédéric COTTA (poete-fada)
26 janvier 2006
Isabelle, quelques années de plus, quelques histoires, peu de victoires ...
Encore désolé pour cette nuit où je t'ai quitté ...
I'll Never forget you girl !
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
En quelqu'un qui te donnait la preuve de sa fidélité
Savoir où, avec qui, ce que je faisais
Cette belle prison où j'avais tout ce que je voulais
J'ai tenté de me convaincre
J'ai essayé de te comprendre
Mais cette sensation d'être prisonnier de moi-même
Et aucune raison à mon emprisonnement
Tu m'as tant donné et j'ai tant accepté
J'ai voulu te permettre une énième chance
Et, de soupçons infondés en jalousée perfide
Tu as détruit la moindre parcelle de patience
Je t'aurais donné le monde
Car je me sais redevable
De cet amour aveugle
Incensé, si parfait et fidèle
J'aurais aimé finir notre histoire autrement
Je ne t'en ai peut être pas laissé le temps
Oui, une fois, j'ai été un beau salop
Mais je t'ai plaqué en y mettant les formes
Plus que tout, je sais à quel point ça fait mal
J'ai ménagé les effets
J'ai pris sur moi pour ne pas retomber
Dans tes bras accueillants
Je tenais à ce que tu saches
Que j'ai été bien avec toi
Et qu'aujourd'hui encore, je ne regrette pas
Même la fin écrite dans tes larmes
Frédéric COTTA (poete-fada)
26 janvier 2006
Isabelle, quelques années de plus, quelques histoires, peu de victoires ...
Encore désolé pour cette nuit où je t'ai quitté ...
I'll Never forget you girl !
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
17 janv. 2006
Souvenirs de toi
Je viens de passer un week-end avec toi
La neige pure, le chocolat
Chaud que l'on partage dans le bar
J'ai aimé nos franches rigolades
Nos boules de neige et les cascades
Et puis la chaleur d'un bon feu de bois
Tu m'as donné des raisons d'y croire
J'ai même pas pû sortir du plumard
La couette et ton corps m'apellaient
Une soupe quelques baisers plus tards
Echangés à la belle étoile
Malgré le froid nos corps se réchauffaient
Une galère avec ta voiture
Beaucoup de rires, de cris de joie
Quelques mures dans une tartes
Voici les souvenirs que j'emporte de toi
Frédéric COTTA (poete-fada)
17 janvier 2006
Pour toi, Aurélie ...
cela semblait si bien parti.
Quelques fois je regrette de trop réflechir ...
Bonne chance pour ton avenir.
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
La neige pure, le chocolat
Chaud que l'on partage dans le bar
J'ai aimé nos franches rigolades
Nos boules de neige et les cascades
Et puis la chaleur d'un bon feu de bois
Tu m'as donné des raisons d'y croire
J'ai même pas pû sortir du plumard
La couette et ton corps m'apellaient
Une soupe quelques baisers plus tards
Echangés à la belle étoile
Malgré le froid nos corps se réchauffaient
Une galère avec ta voiture
Beaucoup de rires, de cris de joie
Quelques mures dans une tartes
Voici les souvenirs que j'emporte de toi
Frédéric COTTA (poete-fada)
17 janvier 2006
Pour toi, Aurélie ...
cela semblait si bien parti.
Quelques fois je regrette de trop réflechir ...
Bonne chance pour ton avenir.
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
13 janv. 2006
Notre dispute
Je ne sais pas d'où c'est parti
Cette dispute qui t'éloigne de moi
Je voulais être gentil
Peut être un peu trop pour toi
Mais je ne peux me résigner à vraiment t'abandonner
Oublier cette histoire entre nous, c'est mettre mon coeur à genoux
Je ne sais si c'est de ma faute
Encore que je crois que ça vient de toi
J'ai peut être voulu y croire beaucoup trop vite
Mais toi tu n'en es pas là
Je voulais te faire l'amour en te découvrant chaque jour
J'ai eu du mal à m'en remettre mais notre dispute est dans ma tête
Je voudrais revenir mais je ne sais pas comment
Te seras tu préparée à me revoir
Est ce que tu m'attends
Je voudrais pouvoir y croire
Mettre une touche d'espoir
Mais entre nous tout semble mort
Et j'ai pourtant envie d'y croire encore
Je vais peut être bien t'apeller
et ptêtre bien qu'tu vas pas décrocher
A moins qu'un autre fiancé jaloux ne reçoive encore mon bouquet
Je voudrais te parler de nous
Essayer de recoller les bouts
Mais sans toi je ne peux rien faire
C'est notre amour qui est par terre
Si je me trompe alors pourquoi
Pourquoi t'as voulu de moi
Je crois pas que c'est uniquement
Parceque moi j'ai voulu de toi
Je voudrais que tu y croies
Mais je ne sais pas si tu croies en toi
Je n'ai pas envie de perde du temps
Au détriment des sentiments.
Frédéric COTTA (poete-fada)
13 janvier 2006
(pour Claire)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Cette dispute qui t'éloigne de moi
Je voulais être gentil
Peut être un peu trop pour toi
Mais je ne peux me résigner à vraiment t'abandonner
Oublier cette histoire entre nous, c'est mettre mon coeur à genoux
Je ne sais si c'est de ma faute
Encore que je crois que ça vient de toi
J'ai peut être voulu y croire beaucoup trop vite
Mais toi tu n'en es pas là
Je voulais te faire l'amour en te découvrant chaque jour
J'ai eu du mal à m'en remettre mais notre dispute est dans ma tête
Je voudrais revenir mais je ne sais pas comment
Te seras tu préparée à me revoir
Est ce que tu m'attends
Je voudrais pouvoir y croire
Mettre une touche d'espoir
Mais entre nous tout semble mort
Et j'ai pourtant envie d'y croire encore
Je vais peut être bien t'apeller
et ptêtre bien qu'tu vas pas décrocher
A moins qu'un autre fiancé jaloux ne reçoive encore mon bouquet
Je voudrais te parler de nous
Essayer de recoller les bouts
Mais sans toi je ne peux rien faire
C'est notre amour qui est par terre
Si je me trompe alors pourquoi
Pourquoi t'as voulu de moi
Je crois pas que c'est uniquement
Parceque moi j'ai voulu de toi
Je voudrais que tu y croies
Mais je ne sais pas si tu croies en toi
Je n'ai pas envie de perde du temps
Au détriment des sentiments.
Frédéric COTTA (poete-fada)
13 janvier 2006
(pour Claire)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
4 janv. 2006
Tu es entrée dans ma lumière
Cela semblait être un jour comme un autre
Un de ceux qui passent sans que l'on prête attention
Rien de spécial prévu à l'horizon
Ni sortie avec les potes, ni dansing, ni déraison
Puis tu es entrée dans ma lumière
Tu as obstrué mon champs de vision
Je ne pouvais rien voir derrière
Tant tu prenais tout mon horizon
J'ai commencé à te regarder
Et j'ai apprécié ce que j'ai vu
Manifestement tu ne m'avais pas remarqué
Et je profitais de ce moment inatendu
Je me suis attardé sur tes formes
Elles me convenaient bien
Je me suis attardé un moment
Avant de me décider à aller de l'avant
Frédéric COTTA (poete-fada)
04 janvier 2006
(pour Aurélie)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Un de ceux qui passent sans que l'on prête attention
Rien de spécial prévu à l'horizon
Ni sortie avec les potes, ni dansing, ni déraison
Puis tu es entrée dans ma lumière
Tu as obstrué mon champs de vision
Je ne pouvais rien voir derrière
Tant tu prenais tout mon horizon
J'ai commencé à te regarder
Et j'ai apprécié ce que j'ai vu
Manifestement tu ne m'avais pas remarqué
Et je profitais de ce moment inatendu
Je me suis attardé sur tes formes
Elles me convenaient bien
Je me suis attardé un moment
Avant de me décider à aller de l'avant
Frédéric COTTA (poete-fada)
04 janvier 2006
(pour Aurélie)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Inscription à :
Articles (Atom)