nu,
Tu semblais attendre de moi plus
Mais j'étais nu
Mon âme et mon corps découverts
A la merci de tes ombres et lumières
Nu,
Mon coeur battait à à rompre mon corps
Et toi tu m'as serré si fort
En cadençant des encore, encore,
Encore
Nu,
Je ne pouvais attendre rien de plus
Qu'une relation un peu superflue
Juste un peu moins de vertue
Et encore, encore
Nu,
Au fond du lit blottis l'un contre l'autre
Je ne pouvais réver de moments autre
Extase des sens où tu m'aimais
Encore et encore
Nu,
Bientôt le rève allait s'achever
Avant que tu partes je devais
Te dire combien je t'appréciais
Encore et encore.
Frédéric COTTA (poete-fada)
08 novembre 2003
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blog des textes de poete fada (frederic cotta)
8 nov. 2003
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