Le soufle rond
Le soufle court
Voilà que tu cries mon amour
Dans le lit
A demi-jour
Notre valse se joue sans détours
Notre sueur
Coule à flot
Et les sensations brulent ma peau
De ce feu
Toujours vivace
Qui ne laisse jamais de glace
Tout oublier
Dans tes bras
Et ne renaître qu'une fois
Achevé
Notre parade
Dans les draps couleur de jade
Et tes doigts
me serrant fort
Jusqu'à me briser les os
Dans ces longs
Et torrides ébats
Il n'y a plus que toi et moi.
Frédéric COTTA (poete-fada)
24 juin 2003
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