(sur l'air de « sache que ... » sans le refrain ... )
J'ai bien cerné le gros prolbème
C'est le fait que je suis trop préssé
Ça les fait fuir de tout côté
Ces femmes qui me font réver
Tu fais partie de celles qui
En un regard m'ont comdamnées
Mais si tes yeux étaient ouverts
Je ne serais plus en enfer
Si tu ne jugeais pas qu'avec tes yeux
L'homme que tu vois devant toi
Si tu écoutais tes sens
Sans doute n'en serais-je pas là
Au moment d'être comdamné
De la forfaiture énoncée
Sans en connaître le verdict
Sache que tu me feras souffrir
Le fait de brûler les étapes
Madame le juge jle reconnais
Te dire mon amour, vouloir passer à l'acte
Pour un moment d'éternité
J'ai des circontances atténuantes
Le fait de n'être pas écouté
Peut être si on m'avait donné ma chance
Je ne serais pas accusé ...
Frédéric COTTA (poete-fada)
27/09/1998
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