C'est pas comme si tout le monde ne m'avait pas dit de ne pas essayer
C'est comme si je voulais braver l'interdit de ne pas te serrer
C'est pas comme si tes gestes trahissaient ce que tu ressentais
C'est pas comme si d'un simple regard je pouvais lire dans tes pensées
Puis j'ai réussi à t'avoir en chamboulant tous tes projets
J'ai pénétré la forteresse sans avoir besoin de trop forcer
J'ai cru quelques instants que tout allait changer
La porte s'est refermée me laissant seul sur le quai
J'ai cru que j'étais dans ta tête et que tu réfléchissais
D'un avenir commun peut-être allions nous pouvoir parler
J'ai beau avoir cru en ma chance, l'avoir saisie et y croire encore
Je me trompais
C'est pas comme si tous ne m'avaient pas dit de ne même pas y penser
J'ai cru cela possible alors j'ai foncé droit dans le mur
J'ai cru quelques instants que tout avait changé
Les souvenirs qui restent avec tous mes regrets
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
blog des textes de poete fada (frederic cotta)
26 févr. 2012
25 févr. 2012
C'est trop compliqué
Comment dormir à tes côtés alors que cela ne te fais rien
J'ai tellement envie de te serrer contre moi
Ne plus te lâcher de peur que tu ne partes
C'est trois heures du matin et mon cerveau dérape
Revenu et déjà poussé vers la sortie
Tant de larmes tu as versées je n'y ai rien compris
J'ai beau essayer et je ne comprends toujours pas
Pourquoi un jour c'est chaud et le lendemain c'est froid
Tu me manqueras assurément
Partir est mon seul choix puisque tu n'as pas les mêmes sentiments
Comment dormir à tes côtés si à toi ça ne te fais rien ?
Il te faut un ami gay pour qui tes caresses importent peu
Trois heures du matin et mon cerveau divague
Des milliards de souvenirs que je ne veux pas effacer
Toi qui dort dans ta chambre et moi dans la salle à manger
Partir est la seule solution mais je voudrais rester.
Frédéric COTTA (Poete-Fada) Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
J'ai tellement envie de te serrer contre moi
Ne plus te lâcher de peur que tu ne partes
C'est trois heures du matin et mon cerveau dérape
Revenu et déjà poussé vers la sortie
Tant de larmes tu as versées je n'y ai rien compris
J'ai beau essayer et je ne comprends toujours pas
Pourquoi un jour c'est chaud et le lendemain c'est froid
Tu me manqueras assurément
Partir est mon seul choix puisque tu n'as pas les mêmes sentiments
Comment dormir à tes côtés si à toi ça ne te fais rien ?
Il te faut un ami gay pour qui tes caresses importent peu
Trois heures du matin et mon cerveau divague
Des milliards de souvenirs que je ne veux pas effacer
Toi qui dort dans ta chambre et moi dans la salle à manger
Partir est la seule solution mais je voudrais rester.
Frédéric COTTA (Poete-Fada) Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
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