C'est comme un rêve qui s'achève
Un sentiment d'incomplet
Comme une histoire imparfaite
J'avais envie de te garder
Contre mon corps
Près de mon coeur
Ce matin je me réveille
Tu n'es plus à mes côtés
Je t'ai laissé derrière
Ca servait à rien de continuer
Forcer le destin
Parfois c'est trop demander
J'avais pris toutes les mesures
Pour essayer de t'apprivoiser
J'ai pu parfois être dur
Mais c'était pour mieux continuer
Garder nos câlins
Toujours au secret
Mais je n'avais que peu de chance de te capturer
J'ai pourtant mis l'impatience de côté
Tout n'était pas rose
Mais nous avons essayé
Si tout a marché durant un mois
Pourquoi la magie ne se prolonge pas ?
Je conserverai chaque seconde
Comme autant de souvenirs
Je regrette pas un instant
Sauf celui qui m'a vu partir
Lorsque je me suis résigné
à perdre le combat mené
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
blog des textes de poete fada (frederic cotta)
24 janv. 2012
Ça ne te fera pas revenir
Ça ne te fera pas revenir
Mais j'ai besoin de le dire
Avec toi j'avais la patate
Aujourd'hui suis un clown triste
Ça changera rien
Je voudrais que tu le saches
Aucun instant passé ensemble
Je ne veux que le temps efface
J'aurais beau nier l'évidence
Je t'ai dans la peau
Ton sourire et tes yeux
Manque aussi ta chaleur
Je me sentais bien à tes côtés
Je ne peux le nier
Mais le choix était fait
Ton coeur s'était refermé
Ce qui me rend dingue
C'est d'être sur qu'on fait une connerie
Autant de complicité ne peut se construire
S'il n'y a vraiment rien pourquoi cela nous fait souffrir ?
Ça te fera pas revenir
Mais j'avais besoin de l'écrire
Aujourd'hui le clown triste
A besoin de sa chérie
23/01/2012 07h40
Frédéric COTTA (Poete-Fada) Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Mais j'ai besoin de le dire
Avec toi j'avais la patate
Aujourd'hui suis un clown triste
Ça changera rien
Je voudrais que tu le saches
Aucun instant passé ensemble
Je ne veux que le temps efface
J'aurais beau nier l'évidence
Je t'ai dans la peau
Ton sourire et tes yeux
Manque aussi ta chaleur
Je me sentais bien à tes côtés
Je ne peux le nier
Mais le choix était fait
Ton coeur s'était refermé
Ce qui me rend dingue
C'est d'être sur qu'on fait une connerie
Autant de complicité ne peut se construire
S'il n'y a vraiment rien pourquoi cela nous fait souffrir ?
Ça te fera pas revenir
Mais j'avais besoin de l'écrire
Aujourd'hui le clown triste
A besoin de sa chérie
23/01/2012 07h40
Frédéric COTTA (Poete-Fada) Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
15 janv. 2012
J'ai perdu mon pti soleil
j'ai perdu mon pti soleil
celle qui faisait crepiter mes yeux
apportait un sourire au reveil
mon coeur se sentait mieux
Franchis tous ses obstacles
Et malgré tout faillir
Finir dans le bac à sable
J'ai pas envie de partir
J'ai perdu mon pti soleil
Celle pour qui j'aurais décroché les étoiles
Je voudrais la garder un instant près de moi
Pour que nos coeurs mettent les voiles
J'ai perdu mon pti soleil
Celle avec qui je voulais passer chaque matin
Je rêve à nouveau de partir loin
Oublier le pti soleil et le creux de ses reins
10 janv. 2012
Je vous ai tant donné
Je vous ai tant donné
Trop peut-être
J'aurais tout accordé
Pour pouvoir être
Aimé à la hauteur de mes attentes
Je vous ai tant donné
Trop peut-être
A en perdre le bon sens
Mais à quoi bon ?
Je vous ai tant donné
Jusqu'à la déraison
Jusqu'à m'ennuyer de vous
Jusqu'à en perdre la raison
Je vous ai tant aimé
Mais n'était-ce suffisant
Pour ouvrir votre cœur
Pour combler un vide si grand
Et tout en me levant
Après ces quelques heures
J'ai envie d'y croire encore
D'aller de l'avant
Aucun chemin n'est facile
Seul compte le présent
Pour ne pas dire dans 4 ans
"Et si ?", "et si ?"
Je voudrais donner plus
Mais l'accepterez-vous vraiment ?
Je voudrais céder d'avantage
Mais à quoi bon ?
S'il vous est impossible
D'oublier le passé
De rendre putrescible
Vos relations manquées
Les souvenirs restent
Mais ne doivent occulter
Que la vie continue
Ne passons pas à côté
Je vous ai tant donné
Mon temps, mon coeur
Mon corps et mes pensées
A vous de décider
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
2005 achevé en 2011
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Trop peut-être
J'aurais tout accordé
Pour pouvoir être
Aimé à la hauteur de mes attentes
Je vous ai tant donné
Trop peut-être
A en perdre le bon sens
Mais à quoi bon ?
Je vous ai tant donné
Jusqu'à la déraison
Jusqu'à m'ennuyer de vous
Jusqu'à en perdre la raison
Je vous ai tant aimé
Mais n'était-ce suffisant
Pour ouvrir votre cœur
Pour combler un vide si grand
Et tout en me levant
Après ces quelques heures
J'ai envie d'y croire encore
D'aller de l'avant
Aucun chemin n'est facile
Seul compte le présent
Pour ne pas dire dans 4 ans
"Et si ?", "et si ?"
Je voudrais donner plus
Mais l'accepterez-vous vraiment ?
Je voudrais céder d'avantage
Mais à quoi bon ?
S'il vous est impossible
D'oublier le passé
De rendre putrescible
Vos relations manquées
Les souvenirs restent
Mais ne doivent occulter
Que la vie continue
Ne passons pas à côté
Je vous ai tant donné
Mon temps, mon coeur
Mon corps et mes pensées
A vous de décider
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
2005 achevé en 2011
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
5 janv. 2012
Je voudrais
Il y a des fois où je me dis
Faudrait trouver un créneau
Pour pouvoir lui dire
Que je l'ai dans la peau
Mais la vie s'acharne
A nous rendre seul
Sans combler nos âmes
Qui se sentent abandonnées
Il y a des fois où mes nuits
Ressemblent à un désert
J'échangerai ma liberté
Contre un peu de soleil à ses côtés
Je voudrais tant traverser cette frontière invisible
Qui me sépare de ma terre promise
Il y a parfois des regards échangés
Mais rien ne semble vouloir bouger
Parfois nos bouches se touchent presque
Et je voudrais franchir le Rubicon
Oser un baiser romanesque
Pour obtenir mon accréditation
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
(préparé en 2008, fini en 2011)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Faudrait trouver un créneau
Pour pouvoir lui dire
Que je l'ai dans la peau
Mais la vie s'acharne
A nous rendre seul
Sans combler nos âmes
Qui se sentent abandonnées
Il y a des fois où mes nuits
Ressemblent à un désert
J'échangerai ma liberté
Contre un peu de soleil à ses côtés
Je voudrais tant traverser cette frontière invisible
Qui me sépare de ma terre promise
Il y a parfois des regards échangés
Mais rien ne semble vouloir bouger
Parfois nos bouches se touchent presque
Et je voudrais franchir le Rubicon
Oser un baiser romanesque
Pour obtenir mon accréditation
Frédéric COTTA (Poete-Fada)
(préparé en 2008, fini en 2011)
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
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