Si j'osais, je te dévorerai des yeux
J'oublierai tous ces gens et te prendrai dans mes bras
Je t'enlacerai, j'en ferai des envieux
Et te ferais tourner la tête
Si j'osais, je t'embrasserai fougueusement
Laissant leur préjugés sur le lieu et l'instant
Pourtant, je voudrais tellement
Te serrer contre moi juste quelques instants
Si j'osais, je te donnerai ces mots
Tu es à quelques mètres mais je ne dis mot
Ton pied se balance et tu jettes un regard inquiet
Sur cette porte qui s'ouvre et se ferme sans arrêt
Si j'osais, je te donnerai mon portable
En me demandant tout de même si tu le relèveras
Mais voilà qu'il t'appelle à ton tour, à ta voix
Si le destin s'en mêle, je ferai le premier pas.
(Pour Vanessa)
Frédéric COTTA (poete-fada)
25 Février 2010
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
blog des textes de poete fada (frederic cotta)
25 févr. 2010
16 févr. 2010
Sur la route
Vole au dessus des problèmes
Plane au dessus de la misère
Cette vie est la tienne
Tu dois en reprendre le destin
Rattraper les heures de doutes
Répondre aux questions attendues
Reprendre le chemin de ton voyage
Aller vers les autres, quoiqu'il en coûte
Poser les jalons
Et toutes les premières pierres
Construire du neuf et du beau
Balayer les matin d'hiver
Faire briller tes yeux
T'émerveiller de tout
Chasser les nuages
Le soleil brillera mieux si tout est partage
Vivre au delà des préjugés
Chaque matin est un été
Une occasion nouvelle pour chanter
La beauté des paysages
Quand tout te semblera triste
Un peu de couleur,
moins de sérieux
Grimper sur les arbres pour voir la vie en bleue
Oublier les peines et serrer dans tes bras
Ceux qui te sont si chers et que tu aimes ici bas
T'accrocher à eux pour ne plus tomber de haut
Ne rien attendre de ceux qui jadis t'ont tourné le dos
Franchir les montagnes,
Prendre les bons sentiers
Car chaque erreur te permet d'avancer
Et de modifier ton parcours
Apprendre de tous les autres
Et si tu perds ta route
Malgré tous ces repères
Pense à jamais que je resterais près de toi
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 février 2010
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Plane au dessus de la misère
Cette vie est la tienne
Tu dois en reprendre le destin
Rattraper les heures de doutes
Répondre aux questions attendues
Reprendre le chemin de ton voyage
Aller vers les autres, quoiqu'il en coûte
Poser les jalons
Et toutes les premières pierres
Construire du neuf et du beau
Balayer les matin d'hiver
Faire briller tes yeux
T'émerveiller de tout
Chasser les nuages
Le soleil brillera mieux si tout est partage
Vivre au delà des préjugés
Chaque matin est un été
Une occasion nouvelle pour chanter
La beauté des paysages
Quand tout te semblera triste
Un peu de couleur,
moins de sérieux
Grimper sur les arbres pour voir la vie en bleue
Oublier les peines et serrer dans tes bras
Ceux qui te sont si chers et que tu aimes ici bas
T'accrocher à eux pour ne plus tomber de haut
Ne rien attendre de ceux qui jadis t'ont tourné le dos
Franchir les montagnes,
Prendre les bons sentiers
Car chaque erreur te permet d'avancer
Et de modifier ton parcours
Apprendre de tous les autres
Et si tu perds ta route
Malgré tous ces repères
Pense à jamais que je resterais près de toi
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 février 2010
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