Si tu étais là,
je danserai sur les tables
Je te ferai l'amour sur le sable
Et nous serions amoureux
Si tu étais là,
Je m'ennivrerai de ton corps
J'essayerai d'être ton trésor
Et j'en voudrais encore
Si tu étais là,
J'enverrai le monde au Diable
Et je m'essuyerai les pieds
Sur leurs stupides préjugés
Si tu étais là,
Chaque jour serait une fête
Et nous chanterions à tue tête
Cet amour que nous avons au fond de nos êtres
Si tu étais là,
Je déclamerai mon amour dans la rue
Je voudrais courrir après toi
Et dans un champs de blé tomber près de toi
Si tu étais là,
Je passerai chaque minute à me demander
Pourquoi tu m'as choisi parmis tant d'autres
Je passerai chaque minute à t'aimer
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 Aout 2006
blog des textes de poete fada (frederic cotta)
16 août 2006
7 août 2006
16
Cela me semble hier
Que tes parents te ramenaient
Que partout tu courrais
A quatre pattes sur le sol mouillé
Cela me semble hier
Et le jour d'après te voilà une femme
De petits rendez-vous en amoureux transis
J'en rirais s'ils ne te serraient pas d'aussi près.
Cela me semble hier
Et pourtant les soirées où tu traînes
C'est de l'alcool, des hommes, des problèmes
Qu'un petit coeur commence à cerner à peine
Cela me semble hier
Que tu riais à mes blagues idiotes
Que tu prenais ton pti dej avec tes quenottes
Fronçant les sourcils en découvrant les goûts de la vie
Cela me semble hier
Et que je pouvais à loisir te regarder grandir
Faire semblant de te gronder puis d'un seul coup sourire
A ta mine désolée de me faire ainsi rugir
Cela me semble hier
Quand tu prenais ma main pour traverser la route
Et je voudrais qu'aujourd'hui tu n'aies aucun doute
Que quand tu en as besoin, ma main est toujours près de toi
Cela me semble hier
Et le jour d'après, c'est 16 années écoulées
C'est des rires, des pleurs, quelques fessées
Et un cousin au grand coeur qui t'aime tu le sais
Frédéric COTTA (poete-fada)
21 juillet 2006
(à tes 16 ans, ma puce)
Que tes parents te ramenaient
Que partout tu courrais
A quatre pattes sur le sol mouillé
Cela me semble hier
Et le jour d'après te voilà une femme
De petits rendez-vous en amoureux transis
J'en rirais s'ils ne te serraient pas d'aussi près.
Cela me semble hier
Et pourtant les soirées où tu traînes
C'est de l'alcool, des hommes, des problèmes
Qu'un petit coeur commence à cerner à peine
Cela me semble hier
Que tu riais à mes blagues idiotes
Que tu prenais ton pti dej avec tes quenottes
Fronçant les sourcils en découvrant les goûts de la vie
Cela me semble hier
Et que je pouvais à loisir te regarder grandir
Faire semblant de te gronder puis d'un seul coup sourire
A ta mine désolée de me faire ainsi rugir
Cela me semble hier
Quand tu prenais ma main pour traverser la route
Et je voudrais qu'aujourd'hui tu n'aies aucun doute
Que quand tu en as besoin, ma main est toujours près de toi
Cela me semble hier
Et le jour d'après, c'est 16 années écoulées
C'est des rires, des pleurs, quelques fessées
Et un cousin au grand coeur qui t'aime tu le sais
Frédéric COTTA (poete-fada)
21 juillet 2006
(à tes 16 ans, ma puce)
Inscription à :
Articles (Atom)