Avant, j'aurais tout donné pour toi
Mais tu as fait ton propre choix
Avant, mon corps te désirais plus que tu ne le crois
Je brulais d'impatience de te tenir sérée
de rapprocher nos distances
Avant, j'aurais tout donné pour toi
Tu aurais pu inventer une démence
J'aurai tout passé, tout oublier
Pour mieux me retrouver près de toi
Tu aimerais que je me souviennes
Tu aimerais que je revienne
Mais le passé est passé
Et tu n'es plus mon avenir
Avant, j'aurais tout donné pour toi
Pour partager tes peines
Et les combler de nos joies
Mais le lâche abandon dont j'ai été victime
Ne saurait me donner envie de me perdre en toi
Frédéric COTTA (poete-fada)
20 septembre 2005
Il n'est pas facile de faire une croix sur le passé, même quand on s'emploie
chaque jour à effacer les traces des blessures qu'il vous laisse.
A toutes celles avec qui j'ai fleurté et qui se reconnaîtront ici, cela fait mal mais merci ...
Chaque seconde de bonheur que j'ai passé avec vous, chaque seconde où j'ai espéré et parfois obtenu,
chacun de ces secondes dans cet immense océan de solitude, je les ai savourées.
Quand on tombe, on finit toujours par se relever.
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
blog des textes de poete fada (frederic cotta)
20 sept. 2005
12 sept. 2005
Fuyarde
T'as préféré partir
Plutôt qu'un corps à corps
T'as préféré t'enfuir
Mais moi, je t'aime encore
Peu importe la colère
Et mon ressentiment
Une fois encore la haine
Rends l'amour bien plus vivant
J'aurai aimé t'avoir
Te garder plus longtemps
Et faire de notre histoire
Un merveilleux roman
Mais t'as préféré t'enfuir
Au lieu de corps à corps
Tu m'as laissé choir ainsi
Planté dans le décors
Peu importe ma douleur
Que je ressens à présent
Car tu vois dans mon malheur
Le goût à la vie je reprends
J'ai envie de sortir
Et d'effacer ton affront
J'ai envie de fêtes, de rires
Pour plus encore de plaisirs
J'ai besoin de quelqu'un
Qui reste à mes côtés
Et savourer enfin
Le bonheur partagé
Frédéric COTTA (poete-fada)
12 septembre 2005
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Plutôt qu'un corps à corps
T'as préféré t'enfuir
Mais moi, je t'aime encore
Peu importe la colère
Et mon ressentiment
Une fois encore la haine
Rends l'amour bien plus vivant
J'aurai aimé t'avoir
Te garder plus longtemps
Et faire de notre histoire
Un merveilleux roman
Mais t'as préféré t'enfuir
Au lieu de corps à corps
Tu m'as laissé choir ainsi
Planté dans le décors
Peu importe ma douleur
Que je ressens à présent
Car tu vois dans mon malheur
Le goût à la vie je reprends
J'ai envie de sortir
Et d'effacer ton affront
J'ai envie de fêtes, de rires
Pour plus encore de plaisirs
J'ai besoin de quelqu'un
Qui reste à mes côtés
Et savourer enfin
Le bonheur partagé
Frédéric COTTA (poete-fada)
12 septembre 2005
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