Petit sourrire en coin
Qui veut dire tant de choses
Ta bouche douce est jolie
Tu es si belle ce matin
Petit sourire en coin
Que j'ai envie d'embrasser
Comme je voudrais t'enlacer
Et t'amener au loin
Petit sourrire en coin
Tes levres sont bien roses
La rosée du matin
C'est emporter le morose
J'ai envie de t'emmener loin
texte non fini
Frédéric COTTA (poete-fada)
24 novembre 2004
Ce document est protégé par un contrat Creative Commons :
blog des textes de poete fada (frederic cotta)
24 nov. 2004
22 nov. 2004
si j'étais moi
Si j'étais vraiment moi
Je me foutrais de ce que pensent les autres
J'enverrai péter les préjugés
Avec ce franc parler que peu me connaissent
Si j'étais moi
Je te serrerai fort près de moi
Sans penser à mal
Sans avoir idée du mal que je te fais
Si j'étais moi
Jamais je ne renierai ce que je pense
Pour mieux m'insérer dans cette vie en transe
Et donner l'impression d'être un autre que moi
Si j'étais moi
Tu serais mon trésor caché
Notre romance ne serait qu'à nous
Et j'écarterais les curieux, les parasites, les fous
Si j'étais moi
Jamais tu ne quitterais la maison
Sans avoir eu une ration de baiser
Serait-ce suffisant pour te garder pour une journée ?
Si j'étais moi
J'aurais peur que mon ombre
Te saisisse et t'enlève au loin
Que je ne puisse garder ton parfum
Si j'étais moi
Je serais ce que je suis
Un peu fou, sans doute amoureux
D'un désir langoureux
Si j'étais moi
Frédéric COTTA (poete-fada)
22 novembre 2004
Ce document est protégé par un contrat Creative Commons :
Je me foutrais de ce que pensent les autres
J'enverrai péter les préjugés
Avec ce franc parler que peu me connaissent
Si j'étais moi
Je te serrerai fort près de moi
Sans penser à mal
Sans avoir idée du mal que je te fais
Si j'étais moi
Jamais je ne renierai ce que je pense
Pour mieux m'insérer dans cette vie en transe
Et donner l'impression d'être un autre que moi
Si j'étais moi
Tu serais mon trésor caché
Notre romance ne serait qu'à nous
Et j'écarterais les curieux, les parasites, les fous
Si j'étais moi
Jamais tu ne quitterais la maison
Sans avoir eu une ration de baiser
Serait-ce suffisant pour te garder pour une journée ?
Si j'étais moi
J'aurais peur que mon ombre
Te saisisse et t'enlève au loin
Que je ne puisse garder ton parfum
Si j'étais moi
Je serais ce que je suis
Un peu fou, sans doute amoureux
D'un désir langoureux
Si j'étais moi
Frédéric COTTA (poete-fada)
22 novembre 2004
Ce document est protégé par un contrat Creative Commons :
Inscription à :
Articles (Atom)