Toi qui ne me regarde pas
Aurais tu peur de ce que tu vois
Aurais tu peur d'affronter mon regard
Qui te dévisage tant tu es abominable ?
Toi qui tue et pille les vies
De tous ces pauvres petits
Des pauvres misérables gueux
Qui n'ont eu qu'à te faire confiance
Toi qui pisse sur leur tombe
Et à peine partie leur ombre
Au royaume de l'immonde
Tu t'installes dans leur vie
Toi qui attend la nuit entière
Pour voir mourrir une pov' vieille
Qui ne demandait pas tant
Que de revoir son cher amant
Toi qui se fait apeller
La mort, la seule vérité
Celle qui a fait bruler
Tant et tant de papier
Je te méprise et te maudits
Et dis toi bien qu'aujourd'hui
Tu n'auras pas mon sang
Tu n'auras pas ma vie
Frédéric COTTA (poete-fada)
08 decembre 2003
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
blog des textes de poete fada (frederic cotta)
8 déc. 2003
3 déc. 2003
laisse moi t'aimer
Laisse moi me perdre dans tes yeux
Laisse moi y déposer mon âme
Et être enfin quelqu'un d'heureux
En y découvrant chaque flamme
Laisse moi épouser ton coeur
Et y découvrir le bonheur
Le bonheur d'être enfin deux
Laisse moi me perdre dans tes yeux.
Laisse moi oublier les malheurs
Laisse moi panser mes blessures
Oublier toutes ces peurs
Et ces guerres qui flétrissent nos murs
Laise moi t'aimer encore
Comme si jamais je ne revenais
Laisse moi parler à ton corps
Comme si plus rien n'était
Laisse moi être là à la tombée du jour
Et terminer en te faisant l'amour
Jusqu'à ce que nos étreintes harassantes
se finissent à la mort de la lampe
Laisse moi t'aimer.
Frédéric COTTA (poete-fada)
03 décembre 2003
Ce document est protégé par un contrat Creative Commons :
Laisse moi y déposer mon âme
Et être enfin quelqu'un d'heureux
En y découvrant chaque flamme
Laisse moi épouser ton coeur
Et y découvrir le bonheur
Le bonheur d'être enfin deux
Laisse moi me perdre dans tes yeux.
Laisse moi oublier les malheurs
Laisse moi panser mes blessures
Oublier toutes ces peurs
Et ces guerres qui flétrissent nos murs
Laise moi t'aimer encore
Comme si jamais je ne revenais
Laisse moi parler à ton corps
Comme si plus rien n'était
Laisse moi être là à la tombée du jour
Et terminer en te faisant l'amour
Jusqu'à ce que nos étreintes harassantes
se finissent à la mort de la lampe
Laisse moi t'aimer.
Frédéric COTTA (poete-fada)
03 décembre 2003
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Un petit mot
un petit mot
Pour te dire combien je t'aime
Et quelles serait ma peine
Si tu partais au loin
un petit mot
Pour te dire combien tu manques
Quand tu t'en vas dans les calanques
Et que tu me laisse seul sans rien
Un petit mot
Pour te dire tout ce que je sais
Te dire tout ce que je ne suis pas
Quand tu es loin de moi
Un petit mot
Pour ne plus te faire l'injure
D'attendre que je sois assez mûr
Pour faire de moi un homme sûr
Un petit mot
Pour qu'un bébé vienne combler
notre couple si bien créé
Par notre belle destinée
Frédéric COTTA (poete-fada)
03 decembre 2003
Ce document est protégé par un contrat Creative Commons :
Pour te dire combien je t'aime
Et quelles serait ma peine
Si tu partais au loin
un petit mot
Pour te dire combien tu manques
Quand tu t'en vas dans les calanques
Et que tu me laisse seul sans rien
Un petit mot
Pour te dire tout ce que je sais
Te dire tout ce que je ne suis pas
Quand tu es loin de moi
Un petit mot
Pour ne plus te faire l'injure
D'attendre que je sois assez mûr
Pour faire de moi un homme sûr
Un petit mot
Pour qu'un bébé vienne combler
notre couple si bien créé
Par notre belle destinée
Frédéric COTTA (poete-fada)
03 decembre 2003
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