S'il suffisait de dire je t'aime
Pour que ses caprices soient exhaussé
Alors je hurlerai je t'aime
Jusqu'à en avoir la nausée
S'il sufisait de mots d'amour
Pour éviter tous les morts du jour
S'il suffisait d'ouvrir ses bras
Pour que cessent tous ces combats
S'il sufisait que je te prenne
Oh mon amour dans mes bras
Que je te suçure je t'aime
Pour que tu sois tout près de moi
S'il sufisait que je te dise
Pour faire pencher ta tour de pise
Dans laquelle tu t'es enfermée
Pour mieux pouvoir me condamner
S'il suffisait de répendre l'amour
Pour que cesse les combats du jour
Alors je chanterai à corps perdu
Pour que cela n'arrive jamais plus
Non jamais plus
Frédéric COTTA (poete-fada)
27 décembre 2001
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
blog des textes de poete fada (frederic cotta)
27 déc. 2001
25 déc. 2001
Joyeux noel
Mon ange, ma douce
En ces temps de guerre et de folie meutrière au travers du monde,
En ces temps incertains où la violence gagne même les plus paisibles faubours,
En ces temps où la haine gagne plus encore de terrain,
Où les juifs tirent sur des palestiniens,
En ces temps où être frères ne signifie plus rien,
En ces temps où tout espoir semble perdu,
J'ai envie de croire à l'amour,
J'ai envie de croire en l'espoir,
Et envie de changer tout en un jour;
Même si pour cela, je dois te perdre à mon tours
Neanmoins, sâche que je te souhaite,
Du plus profond de mon coeur et de mon âme,
Un joyeux Noël.
Que les cadeaux que tu as toujours demandés arrivent enfin
Que l'amour qui t'as tant manqué te trouve enfin
Que tes rèves les plus fous se réalisent enfin
Que tu comprennes enfin ...
Frédéric COTTA (poete-fada)
25 décembre 2001
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En ces temps de guerre et de folie meutrière au travers du monde,
En ces temps incertains où la violence gagne même les plus paisibles faubours,
En ces temps où la haine gagne plus encore de terrain,
Où les juifs tirent sur des palestiniens,
En ces temps où être frères ne signifie plus rien,
En ces temps où tout espoir semble perdu,
J'ai envie de croire à l'amour,
J'ai envie de croire en l'espoir,
Et envie de changer tout en un jour;
Même si pour cela, je dois te perdre à mon tours
Neanmoins, sâche que je te souhaite,
Du plus profond de mon coeur et de mon âme,
Un joyeux Noël.
Que les cadeaux que tu as toujours demandés arrivent enfin
Que l'amour qui t'as tant manqué te trouve enfin
Que tes rèves les plus fous se réalisent enfin
Que tu comprennes enfin ...
Frédéric COTTA (poete-fada)
25 décembre 2001
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17 déc. 2001
Le fantôme du passé
Tel un fantome englouti
T'es revenue hanter
Mes nuits
Tel un vieux rève brisé
Que l'on aurait laissé
Ressortir
Si seulement je pouvais
À jamais t'effacer
De mon esprit
Mais tu es toujours là
Tapie au fond de moi
Comme un rève oublié ...
De quoi révais-je étant gosse ?
Que tu m'appartenais enfin
Que j'étais le prince qui tuait la fée carabosse
Ou je combatais le malin en son sein
Tel un fantome englouti
Audrey a ressurgie
Du fond de mes pensées
Que dois je donc faire
Pour oublier ta lumière ?
L'oublier à jamais ?
Frédéric COTTA (poete-fada)
17 février 2001
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T'es revenue hanter
Mes nuits
Tel un vieux rève brisé
Que l'on aurait laissé
Ressortir
Si seulement je pouvais
À jamais t'effacer
De mon esprit
Mais tu es toujours là
Tapie au fond de moi
Comme un rève oublié ...
De quoi révais-je étant gosse ?
Que tu m'appartenais enfin
Que j'étais le prince qui tuait la fée carabosse
Ou je combatais le malin en son sein
Tel un fantome englouti
Audrey a ressurgie
Du fond de mes pensées
Que dois je donc faire
Pour oublier ta lumière ?
L'oublier à jamais ?
Frédéric COTTA (poete-fada)
17 février 2001
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16 déc. 2001
Créer le bonheur
Ne pas revenir en arrière
Mais oser refaire
Ce monde qui souffre tant
Chaque jour
Oublier nos guerres
Nos rancunes et nos haines
Et laisser libre chant
À notre amour
Ne plus penser en terme de nationalité
Ne plus laisser les religions nous commander
Faire de ce monde
Un monde de couleurs
Où chaque être pourrait
Trouver son bonheur
Se donner le temps
De penser au présent
Oublier nos erreurs
Qui nous empêche tant
Aimer les autres
Et s'accepter soi même
Créer l'espace en soi
Pour aimer les différences
Créer son bonheur
Pour ne plus chercher le malheur
Ne plus penser aux profits
Mais penser avec son coeur
Oublier les guerres
Nos rancunes et nos haines
Et laisser libre chant.
À notre Amour
Dépenser toute notre énergie à créer un monde enfin joli
Depasser nos peurs
Être comblés de bonheur
Je souhaite que
Le monde soit à la hauteur
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 février 2001
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Mais oser refaire
Ce monde qui souffre tant
Chaque jour
Oublier nos guerres
Nos rancunes et nos haines
Et laisser libre chant
À notre amour
Ne plus penser en terme de nationalité
Ne plus laisser les religions nous commander
Faire de ce monde
Un monde de couleurs
Où chaque être pourrait
Trouver son bonheur
Se donner le temps
De penser au présent
Oublier nos erreurs
Qui nous empêche tant
Aimer les autres
Et s'accepter soi même
Créer l'espace en soi
Pour aimer les différences
Créer son bonheur
Pour ne plus chercher le malheur
Ne plus penser aux profits
Mais penser avec son coeur
Oublier les guerres
Nos rancunes et nos haines
Et laisser libre chant.
À notre Amour
Dépenser toute notre énergie à créer un monde enfin joli
Depasser nos peurs
Être comblés de bonheur
Je souhaite que
Le monde soit à la hauteur
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 février 2001
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Etouffer demain
(j'arrive pas à le finir, 17/12/2001)
Partir plus loin,
nous isoler pour pouvoir crier ces mots que j'attend tant;
et faire l'amour de la pénombre au petit jour.
Oser revenir sur le devant.
Et te faire l'amour allongés sur l'herbe.
Toucher le sol en s'élevant au septième ciel.
J'ai tant besoin de toi,
comme je te manque surement pendant ces 12 heures que le temps nous prends.
Chaques jours et chaques nuits ...
je voudrais t'entendre rire,
te voir sourrire est mon bien le plus précieux
et te faire l'amour de la nuit au lever du jour
du matin au soir et encore et encore pour étouffer demain.
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 février 2001
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Partir plus loin,
nous isoler pour pouvoir crier ces mots que j'attend tant;
et faire l'amour de la pénombre au petit jour.
Oser revenir sur le devant.
Et te faire l'amour allongés sur l'herbe.
Toucher le sol en s'élevant au septième ciel.
J'ai tant besoin de toi,
comme je te manque surement pendant ces 12 heures que le temps nous prends.
Chaques jours et chaques nuits ...
je voudrais t'entendre rire,
te voir sourrire est mon bien le plus précieux
et te faire l'amour de la nuit au lever du jour
du matin au soir et encore et encore pour étouffer demain.
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 février 2001
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esclave de tes chaînes
Tant de temps perdu à me battre contre des moulins à vent
Tant de temps perdu à me débattre dans les sables mouvants
Il aurait fallu que je te prennes dans mes bras
Et te serrer tout fort contre moi
Mais dès qu'il s'agit de sentiments je suis lâche
Je manque de courage surement
Courage de te prendre par la main
Et de te dire oh combien ... je t'aime
J'aurais sans doute préféré ne jamais te revoir
Ni même penser à toi, c'était tellement plus simple
Mais aujourd'hui si j'arrives plus à m'endormir le soir
C'est que dans ma tête il n'y a plus rien de sain
J'ai préjugé de mes forces en espérant te revoir
Mais le seul fait de prendre le téléphone me fait perdre Espoir
Je n'ose même pas t'apeller et pourtant
Si je ne dors plus c'est que je le voudrais tant
Exclave de tes chaines que je n'ai jamais voulu porter
Pourquoi mon dévolu sur toi s'est il tant emporté
Je rève de te trouver et j'en casse mes histoires
A trop vouloir perfectionner ton image dans ma mémoire
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 décembre 2001
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Tant de temps perdu à me débattre dans les sables mouvants
Il aurait fallu que je te prennes dans mes bras
Et te serrer tout fort contre moi
Mais dès qu'il s'agit de sentiments je suis lâche
Je manque de courage surement
Courage de te prendre par la main
Et de te dire oh combien ... je t'aime
J'aurais sans doute préféré ne jamais te revoir
Ni même penser à toi, c'était tellement plus simple
Mais aujourd'hui si j'arrives plus à m'endormir le soir
C'est que dans ma tête il n'y a plus rien de sain
J'ai préjugé de mes forces en espérant te revoir
Mais le seul fait de prendre le téléphone me fait perdre Espoir
Je n'ose même pas t'apeller et pourtant
Si je ne dors plus c'est que je le voudrais tant
Exclave de tes chaines que je n'ai jamais voulu porter
Pourquoi mon dévolu sur toi s'est il tant emporté
Je rève de te trouver et j'en casse mes histoires
A trop vouloir perfectionner ton image dans ma mémoire
Frédéric COTTA (poete-fada)
16 décembre 2001
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9 déc. 2001
Offres moi ta petite fleur
Offres moi ta petite fleur
Et mets moi follement en sueur
Faisons de cette nuit
La plus longue de nos coeurs
Laisse moi te faire l'amour
Comme si c'était l'premier jour
Que nous passions ensembles
A bercer nos corps
Bercer nos corps dans la pénombre
Pour exploser enfin à la lumière du jour
Laissons nous aller
à Faire de belles ombres
Crois moi ou pas
Je ne rêves que de ça
Oublier nos peines
Dans tes draps
Crois moi ou pas
Je ne pense plus qu'à toi
Oublier nos larmes
Dans tes bras
Offres moi ta petite fleur
Et mets moi follement en sueur
Faisons de cette nuit
La plus longue de nos coeurs
Frédéric COTTA (poete-fada)
09 décembre 2001
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Et mets moi follement en sueur
Faisons de cette nuit
La plus longue de nos coeurs
Laisse moi te faire l'amour
Comme si c'était l'premier jour
Que nous passions ensembles
A bercer nos corps
Bercer nos corps dans la pénombre
Pour exploser enfin à la lumière du jour
Laissons nous aller
à Faire de belles ombres
Crois moi ou pas
Je ne rêves que de ça
Oublier nos peines
Dans tes draps
Crois moi ou pas
Je ne pense plus qu'à toi
Oublier nos larmes
Dans tes bras
Offres moi ta petite fleur
Et mets moi follement en sueur
Faisons de cette nuit
La plus longue de nos coeurs
Frédéric COTTA (poete-fada)
09 décembre 2001
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